Palais des glaces. Dans les gouffres fribourgeois du lac Noir, en Suisse, c’est une magnifique exposition hivernale de glace et de lumière qui s’ouvre. Chaque hiver, l’artiste Karl Neuhaus met ainsi en scène ses palais des glaces féeriques. (Dominic Favre/SIPA)
Des forces spéciales s'entrainent dans la neige près de Pyeonchang, ville sud-coréenne, située à environ 180 kilomètres à l'est de Séoul, le 8 janvier. (Jung Yeon-Je/AFP)
Les nouvelles recrues de l'armée chinoise participent à une formation de tir, samedi 9 janvier, dans le camp de Hefei, ville du centre de la province de l'Anhui, en Chine. (AFP)
Biathlon à Oberhof. Trente sportifs ont participé, dimanche 10 janvier, en Allemagne, à l’épreuve de tir comptant pour la Coupe du monde de biathlon. (Schutt Martin/Abaca)
Le coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des Nations sera donné lundi 11 janvier avec le match d’ouverture qui opposera le pays organisateur, l’Angola, au Mali au stade national du 11 novembre de Luanda. Cette 27e édition est endeuillée par l'attentat commis sur le bus de la sélection togolaise vendredi 8 janvier. (Joe Klamar/AFP)
Fin d’exil. Christopher Ejiofor, cet homme d’affaire britannique a été couronné roi de la province du Nigeria à Enugu, État du sud-est du pays, après plus de quarante années d’exil. Agé de 63 ans, il s’est enfui pendant les quatre dernières décennies dans la commune de Littleover, en tant que réfugié de guerre. (Susan Schulman/SIPA)
Reprise d’activité… Le volcan Tungurahua qui culmine à plus de 5000 mètres d’altitude et qui domine la ville touristique de Baños, en Equateur est en éruption. Le Tungurahua, qui veut dire «Gorge de feu» en langue quechua, est à nouveau entré dans une phase active, lundi 11 janvier, entraînant l'évacuation de milliers d’habitants. (Cecilia Puebla/AFP)
Manifestation contre Guantanamo. Plusieurs organisations de défense des droits de l'Homme et anciens détenus ont protesté, lundi 11 janvier, à Washington, contre le fait que le camp de Guantanamo est toujours ouvert huit ans jour pour jour après l'arrivée des 21 premiers prisonniers. Ici, les militants ont revêtus un uniforme orange, comme ceux que portaient les premiers détenus. (Alex Wong/AFP)
Eco-entretien. Des ouvriers chinois effectuent des travaux de maintenance sur des panneaux solaires installés sur les toits de Wuhan, capitale de la province du Hubei, en Chine, mardi 12 janvier. (Zhou Shepherd/Abaca)
Un homme regarde un tigre grandeur nature, mardi 12 janvier. Cette œuvre, réalisée par l’artiste chinois Eao Quo-qiang est actuellement exposée au musée des Beaux-Arts de Taïpeh. Selon le zodiaque chinois, l'année 2010 est l'année du tigre, qui commence le 14 février. (Sam Yeh/AFP)
Concert en étages. Des musiciens du groupe indien «The Manganiyar Seduction» jouent lors de l'ouverture du 34e festival de Sydney, qui se déroule du 9 au 30 janvier. (Torsten Blackwood/AFP)
Réserve de saison. Un employé charge son camion de sel de dégivrage dans un centre de stockage, près de Heilbronn, en Allemagne, mardi 12 janvier. Les rigueurs de l’hiver perturbent toujours le continent européen, en particulier les conditions de transport. (Sascha Schuermann/AFP)
Perfection. Un officier de la garde d’honneur japonaise vérifie la tenue irréprochable d’autres militaires, à l’occasion des préparatifs d’une cérémonie entre le premier ministre Yukio Hatoyama et les hauts dirigeants du ministère de la Défense, à Tokyo le mercredi 13 janvier. (Itsuo Inouye/SIPA)
Le chaos. Une femme tente de s’extraire des gravas après le tremblement de terre exceptionnellement puissant qui a dévasté mardi soir Port-au-Prince, la capitale d'Haïti. Aucun bilan n’est encore disponible. Un coup terrible pour un des pays les plus pauvres du monde. Il y a 1400 Français recensés à Haïti. (Lisandro Suero/AFP)
Une jeune fille avec une jambe cassée pleure et appelle à l’aide. L'aide internationale continue à arriver, l'aéroport de Port-au-Prince pouvant être partiellement utilisé. (DOSSIER SPÉCIAL - Haïti dévasté) (Frederic Dupoux/AFP)
Si aucun bilan précis ne peut encore être établi à Haïti, le nombre de morts pourrait, d'après le premier ministre haïtien, Jean-Max Bellerive, s'élever à plus de 100.000. Ici, un homme a extrait le corps sans vie d’une femme. (DOSSIER SPÉCIAL - Haïti dévasté) (Farrell Patrick/Abaca)
Les Haïtiens utilisent des moyens de fortune et luttent frénétiquement pour sauver les rescapés et aider les blessés victimes du séisme, en attendant l’arrivée de l'aide internationale. (DOSSIER SPÉCIAL - Haïti dévasté) (Farrell Patrick/Abaca)
Paysage de désolation. Ils ont tout perdu, leur maison, leur vie d'avant, et se sont entassés dans le centre de Port-au-Prince, transformé en immense camp de réfugiés, où des dizaines de milliers de personnes réclament désespérément de l'eau, de la nourriture et des médicaments. Ils se sont installés sur le Champ de Mars, une célèbre avenue de Port-au-Prince, près du Palais présidentiel qui s'est affaissé sous le choc du séisme. (DOSSIER SPÉCIAL - Haïti dévasté) (Juan Barreto/AFP)
Survivant. Un enfant blessé par l’énorme tremblement de terre qui a dévasté mardi 12 janvier Port-au-Prince, se réfugie dans les bras d’un adulte. Il tient dans sa main un morceau de pain… (DOSSIER SPÉCIAL - Haïti dévasté) (Ricardo Arduengo/SIPA)
Sculpté par le ruissellement des eaux dans un des glaciers de l’archipel norvégien du Spitzberg, cette étrange figure souffrante est apparue brutalement, face à la mer. Métaphore troublante de l’érosion des mondes arctique et antarctique, cet homme de glace en larmes suscite l’émotion. Pour une fois, la fonte des glaces a un visage humain. Saura-t-il accélérer la prise de conscience du monde en faveur d’une vraie réduction des émissions de gaz à effet de serre avant qu’il ne soit trop tard ? Pour l’instant, peu de décisions concrètes ont été prises. Et la banquise disparaît. Inexorablement. (Michael S. Nolan/Bios)
Alien ou insecte ? D’où vient cette étrange créature immortalisée par Igor Siwanowicz, photographe spécialiste des prises de vues macrophotographiques ? Malgré son air venu d’ailleurs et sa troublante ressemblance avec les personnages de films de science-fiction hollywoodiens, Idolomantis diabolica, qui étire ici presque lascivement sa patte antérieure gauche hérissée de pointes acérées, n’est autre qu’une cousine africaine de notre mante religieuse européenne. Pouvant atteindre une taille de 11 centimètres environ, cet arthropode se nourrit principalement d’insectes volants, drosophiles, mouches, teignes ou papillons, qu’il abuse grâce à ses étonnantes facultés de mimétisme. (Igor Siwanowicz/MAXPPP)
Source : lefigaro.fr janvier 2010