Dans le cadre des questions diverses, en fin de séance du Conseil Municipal, Monsieur ECHAVIDRE demande à interroger le Maire à propos du magasin « Petit Casino » en centre bourg.
Jean-Pierre ECHAVIDRE : « Je souhaiterais vous interroger sur la situation du « Petit Casino ». Depuis sa fermeture il y a un réel manque, confirmé par de nombreux Montesquiviens, pour notamment ce qui concerne les fruits et légumes et le dépannage en épicerie. D’autant que « Le Potager » a également fermé ses portes. »
« Si j’ai bien compris l’histoire de ce magasin il a été fermé parce qu’il constituait un danger potentiel pour ses clients. Il semblait donc logique que des travaux de réfection soient entrepris par le propriétaire, or l’affaire traine depuis des mois. Etes-vous intervenu auprès du propriétaire de ce magasin qui doit être la Société Casino, pour que le nécessaire soit fait ? »
Réponse de Monsieur le Maire : « Nous sommes intervenus directement par courrier auprès du propriétaire des lieux qui est effectivement la Société Casino. Vous savez par ailleurs que le bâtiment ex-traiteur situé sur l’Esplanade des Platanes a été vendu et que le nouveau propriétaire a l’intention d’y ouvrir des magasins. Il nous a donc consultés pour savoir quels types de commerces pouvaient être implantés à Montesquieu-Volvestre. Nous avons mis cette personne en relation avec Casino en lui indiquent les besoins en matière de petite supérette.
Jean-Pierre ECHAVIDRE : « Il serait tout de même bon que le Maire alerte sérieusement Casino pour qu’ils assument leur responsabilités notamment vis-à-vis des voisins qui pourraient bien avoir des désordres dans leurs logements dus au infiltrations d’eau dans l’ancien magasin. »
Monsieur le Maire : « Nous allons effectivement faire une relance auprès de Casino. »
Jean-Pierre ECHAVIDRE : « Je vous signale également, toujours pour cette même affaire, que les vitrines n’ont pas été occultées et qu’à l’intérieur règne un capharnaüm impressionnant. Il me semble qu’au minimum Casino devrait prendre en charge la pose de rideaux pour cacher la misère. Ce magasin constitue actuellement une verrue en plein centre de Montesquieu. »