22 février 2017 - Bayrou ménage son suspens :
L’ancien ministre de Jacques Chirac lèvera le voile sur ses intentions présidentielles le mercredi 22 février. Selon notre enquête Ifop-Fiducial pour Paris-Match, iTELE et Sud-Radio, François Bayrou ne dépasse pas les 5,5%.
Malgré les petites phrases distillées deci delà, la courbe d’intentions de vote en faveur de François Bayrou reste remarquablement étale depuis le lancement de l’enquête: il passe de 4,5% lors de la première vague du 1 février dernier à 5,5% aujourd’hui. Corollaire de son indécision, François Bayrou est celui qui dispose de l’électorat le plus friable : concernant les personnes ayant exprimé une intention de vote en sa faveur, seules 33% se disent certaines de leur choix… Problème pour l’ancien ministre, il ne récupérerait que 34% des électeurs qui ont glissé un bulletin de vote en sa faveur en avril 2012. Le reste s’évapore surtout entre Emmanuel Macron et François Fillon.
22 février 2017 - Nicolas Sarkozy entre au conseil d'administration d'AccorHotels :
L'ancien président Nicolas Sarkozy rejoint le conseil d'administration du géant hôtelier AccorHotels, afin "d'accompagner la vision internationale" du groupe, a annoncé le groupe mardi dans un communiqué.
Il a été désigné "à l'unanimité", indique mardi le communiqué d'AccorHotels. Nicolas Sarkozy rejoint le conseil d'administration du géant hôtelier en tant qu'administrateur indépendant et va présider un comité de "stratégie internationale". Les missions et la composition de ce comité seront précisées lors d'un prochain conseil d'administration.
22 février 2017 - Présidentielle : il y aura finalement deux débats avant le premier tour :
TF1 l'a confirmé dans un communiqué mardi. Un débat sera bien organisé le lundi 20 mars entre les principaux candidats à la présidentielle : François Fillon, Benoît Hamon, Marine Le Pen, Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. Dans la foulée, France 2 a annoncé une émission avec "tous les candidats retenus par le Conseil constitutionnel".
La confirmation est venue via un communiqué de TF1. Comme indiqué lundi par L'Opinion, un débat entre les principaux candidats aura lieu le lundi 20 mars. Il opposera, à un mois du premier tour de la présidentielle, les cinq principaux candidats : François Fillon, Benoît Hamon, Marine Le Pen, Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. Le journal indiquait que la présence ou non de François Bayrou - qui devrait en dire plus sur son éventuelle candidature mercredi - restait en suspens.
22 février 2017 - "Climat anxiogène" et "défiance", le quotidien des policiers depuis l'affaire Théo :
Usés par des conditions de travail qu'ils estiment inadaptées, les policiers subissent depuis trois semaines les conséquences de l'affaire Théo sur leur image et dans leur travail.
Les policiers se seraient bien passés de cette affaire. Depuis presque trois semaines et l'interpellation violente de Théo à Aulnay-sous-Bois, tous les regards sont braqués vers les méthodes des forces de l'ordre. "La défiance est palpable, on se sent stigmatisés et cela rend notre mission d'autant plus compliquée, confirme Yves Lefebvre, secrétaire général du syndicat Unité SGP Police FO. Notre travail se complique à tout point de vue, en périphérie parisienne et en Seine-Saint-Denis principalement." Même retour chez Alliance, le syndicat majoritaire. "C'est redoutable, on a été crucifiés sur place. On en a vraiment pris plein la tête", soupire Loïc Lecouplier, secrétaire national Ile-de-France.
Depuis début février, les violences urbaines et les rassemblements contre les violences policières n'ont fait que conforter ce sentiment. Après les violences qui ont éclaté en marge du rassemblement de Bobigny le 11 février, les policiers ont fait face à de nouvelles tensions samedi place de la République à Paris. "On a demandé aux forces mobiles d'attendre le dernier moment, jusqu'à la limite du supportable, avant d'intervenir. Il ne fallait pas qu'on soit taxés d'intervention violente", assure Yves Lefebvre, qui déplore qu'un "commandant de la CRS de Troyes ait été mis KO par un jet de pavé".
22 février 2017 - Rachat d'Opel par Peugeot-Citroën :
la crise diplomatique frôlée : L'annonce a pris tout le monde de court. Peugeot Citroën compte racheter Opel, marque européenne du groupe General Motors. Le projet a enclenché la machine diplomatique de plusieurs pays européens, de Londres à Berlin.
Décidément, l'État français a bien du mal à suivre le rythme des deux Carlos, Tavares et Ghosn, patrons des constructeurs automobiles tricolores. On avait déjà frôlé l'incident diplomatique avec le gouvernement japonais, après un bras de fer musclé entre Carlos Ghosn et Emmanuel Macron, autour de l'alliance Renault-Nissan. Cette semaine, ce sont les relations avec les Allemands et les Britanniques qui ont évité de justesse la sortie de route, suite aux révélations autour de l'affaire Opel. L'intention de rachat par Peugeot Citroën de la marque européenne du groupe General Motors, confirmée par PSA mardi, a pris tout le monde de court.
Les Allemands ont peu apprécié que Michel Sapin, en déplacement officiel en Allemagne, la semaine dernière, ne souffle mot sur le projet de PSA à ses interlocuteurs. L'État français est pourtant actionnaire du constructeur à hauteur de 14%. L'un de ses deux représentants à la tête du groupe, Louis Gallois, en est même président du conseil de surveillance et siège au sein du comité stratégique. Outre-Rhin, tout ce qui touche l'industrie automobile tourne vite à l'affaire d'État, surtout à quelques semaines du démarrage d'une série d'élections régionales, et avant le scrutin national de septembre. Un éventuel changement de propriétaire d'Opel intéresse directement près de 18.000 salariés, soit la moitié de l'effectif total du constructeur. Suite aux vives réactions du puissant syndicat IG Metal, le gouvernement d'Angela Merkel a réagi jeudi, avec la nomination d'un "coordinateur" entre les parties prenantes : le secrétaire d'État Matthias Machnig. Il a promis de "travailler main dans la main avec les représentants du personnel et les syndicats pour le maintien des lieux de production et des emplois chez Opel".
22 février 2017 - La Statue de la Liberté souhaite "la bienvenue aux réfugiés" :
La banderole rouge et blanche installée à la vue de tous, au pied de la Statue de la Liberté a rapidement été retirée par les autorités. Mais pas avant que les photos fassent le tour des réseaux sociaux. Mardi, un message indiquant «les réfugiés sont bienvenus» a été inscrit sur le célèbre monument de New York. Derrière cette opération se cacherait selon CNN le groupe d’activistes Alt Lady Liberty. «Pratiquement tous les Américains ont des ancêtres qui viennent d’ailleurs. Les immigrants et les réfugiés rendent ce pays meilleur. Leur tourner le dos, comme nous l’avons fait pour Anne Frank, ne fait pas de nous des gens biens», a déclaré le groupe sur la chaîne américaine.
Cette bannière a été installée quelques heures seulement après la décision du département de la Sécurité intérieure de durcir l'accueil des étrangers sur le territoire. Il a autorisé mardi les agents d'immigration et de douane à interpeller la plupart des personnes en situation irrégulière qu'ils rencontreraient dans l'exercice de leurs fonctions, ne faisant une exception explicite que pour les sans-papiers arrivés enfants sur le territoire, surnommés les «Dreamers». «Ce dramatique changement de politique est une preuve évidente de l'intérêt de l'administration Trump à déchirer des familles et à répandre la peur parmi les communautés d'immigrants», a pointé le maire de New York Bill de Blasio. L'opposition démocrate au Congrès et les associations de défense des sans-papiers ont dénoncé une politique «d'expulsions de masse», un terme contesté par l'exécutif. Ils affirment que des immigrés cesseront d'aller à l'école ou au travail par peur d'une arrestation.
22 février 2017 - Au pays des glaces un freeruner impose son style :
Au milieu des palais immaculés d’Harbin, un homme attire l’attention. Jason Paul, freeruner allemand de 23 ans, saute de sculpture en sculpture et glisse sur la glace avec une dextérité déconcertante. Il dévoile la vidéo de ses exploits cette semaine. C’est dans cette cité éphémère de la province de Heilongjiang, en Chine du Nord, qui prend forme chaque année grâce à des milliers d’heures de travail que le jeune homme a choisi de réaliser ses figures.
22 février 2017 - Sauvetage d’un navire en flammes, prisonnier des glaces :
Une opération de sauvetage a été menée avec succès pour libérer des glaces un grand cargo qui dormait depuis deux ans au large des côtes de la Russie, plus particulièrement dans la Baie de l’Amour, située à une dizaine de kilomètres de Vladivostok. Abandonnée en septembre 2015 par des pêcheurs cambodgiens, l’embarcation baptisée «Yeruslan» a attiré les pilleurs après que des photographes amateurs ont posté des clichés de celle-ci sur les réseaux sociaux. Et des bandits lui ont mis le feu pour tenter de récupérer de la ferraille à revendre.
Résultat : le navire en flammes prenait l’eau petit-à-petit. La poupe sous la glace et la proue relevée, il menaçait de couler au fond de la baie et donc de créer un désastre environnemental. «Pendant longtemps, l’administration portuaire [de Vladivostok] n’a pas prêté attention à ce qui se passait sur et autour du bateau», a déclaré un sauveteur au quotidien russe «Prima Media». D’épais nuages de fumées étaient en effet visibles depuis les terres, mais par souci de danger, les pompiers n’ont pas été déployés, précise le «Daily Mail».
22 février 2017 - François Bayrou propose une "alliance" à Emmanuel Macron, qui l'accepte :
C'est bien la campagne de toutes les surprises. François Bayrou a, semble-t-il, renoncé à se présenter à une candidature à l'élection présidentielle de 2017 en soumettant une offre d'alliance à Emmanuel Macron. «J'ai examiné depuis plusieurs semaines l’état de notre pays», a-t-il déclaré, tout d'abord, constatant que «le parti du gouvernement et du président sera représenté par un opposant (et) qu'«à droite, le dévoilement des affaires révèle non seulement l’existence de privilège, mais plus encore l’acceptation tacite et unanime de ceux-ci». «Cette situation pose d’énormes problèmes moraux, mais aussi électoraux», a ajouté le maire de Pau. «En un seul scrutin, nous pouvons choisir l’échec de la France et la déchirure de l’Union européenne. Dans cette situation, je mesure ma responsabilité personnelle et celle de mon mouvement.»
«J’ai reçu depuis des semaines de très nombreux messages et témoignages pour me présenter. Ces messages disent beaucoup pour. Mais nous sommes dans une situation d’extrême risque, il faut une réponse exceptionnelle. J’en ai la certitude, la dispersion des suffrages ne peut qu’aggraver les périls. Parce que le risque est immense, parce que les Français sont désorientés et souvent désespérés, j'ai décidé de faire à Emmanuel Macron une offre d'alliance. Je lui dis, le danger est trop grand, il faut changer les choses et le faire d'urgence. Unissons nos forces pour y parvenir.»
22 février 2017 - Claude Bartolone renonce à se présenter aux législatives :
Le président de l'Assemblée nationale Claude Bartolone (PS) a surpris mercredi en annonçant depuis le "perchoir" qu'il ne se représenterait pas aux élections législatives de juin, à l'ouverture de la dernière séance de questions au gouvernement de la 14e législature.
"Je souhaite bonne chance à nos collègues qui se présenteront dans quelques mois devant les électeurs, et adresse mes meilleurs vœux pour la suite à celles et ceux qui ont fait le choix, tout comme moi, de ne pas se représenter", a déclaré M. Bartolone, 65 ans. "Vous mesurez, sans doute, l’émotion qui est la mienne, puisque c’est aujourd’hui - parce que je l’ai choisi - la dernière fois que j’entre en tant que député dans cet hémicycle où j’ai été élu pour la première fois en 1981, à la suite de l’élection du président François Mitterrand", a ajouté cet élu de Seine-Saint-Denis.
23 février 2017 - L'administration Trump relance la guerre des toilettes pour les étudiants transgenres :
L'administration Trump a annoncé mercredi qu'elle mettait fin à un dispositif fédéral de protection des droits étudiants transgenres, relançant ce qui avait été surnommé "la guerre des toilettes".
Les ministères de la Justice et de l'Education, dirigés tous deux par des conservateurs chrétiens, ont publié mercredi soir un bref communiqué indiquant qu'ils "retiraient les recommandations faites au titre de l'article IX (anti-discrimination, ndlr) en 2015 et 2016", sur l'accès à des installations non mixtes, comme des vestiaires ou des toilettes par exemple.
Il revient donc de nouveau aux Etats fédérés et aux districts scolaires de trancher dans ce qui avait été surnommé "la guerre des toilettes". Dès l'annonce faite par les deux ministères, Mara Keisling, responsable du centre national pour l'égalité transgenre a jugé que cette décision était "tout simplement et dangereusement, mauvaise et fausse". "Révoquer les recommandations démontre que les promesses du président Trump de protéger les droits de la communauté LGBT (Lesbiennnes, Gays, Bi et Trans) étaient tout simplement de la rhétorique creuse", a accusé James Esseks, le responsable LGBT de l'ACLU, la plus importante association de défense des droits civiques aux Etats-Unis.
23 février 2017 - Fillon, Macron et Hamon se retrouvent au dîner du Crif :
Un large éventail de politiques, sans Marine Le Pen ni Jean-Luc Mélenchon: le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) tenait mercredi soir son dîner annuel très couru, avec la présidentielle et le "rejet des extrêmes" en toile de fond. Le chef de l'Etat François Hollande, le président du Sénat Gérard Larcher et plusieurs ministres dont Bruno Le Roux (Intérieur), Jean-Jacques Urvoas (Justice) et Jean-Yves Le Drian (Défense) ont répondu à l'invitation de Francis Kalifat, dont c'est le premier dîner comme président du Crif, vitrine politique de la première population juive d'Europe (un demi-million de personnes).
Trois candidats déclarés à l'élection présidentielle sont venus: François Fillon, Emmanuel Macron et Benoît Hamon. Le Premier ministre Bernard Cazeneuve est en visite officielle en Chine. Au total environ 700 invités se sont attablés peu avant 21 heures dans un grand hôtel parisien pour ce 32e dîner, qui s'est installé comme un rendez-vous sans équivalent par son pouvoir d'attraction de responsables politiques, ambassadeurs et ambassadrices dont celle d'Israël Aliza Bin Noun, dignitaires religieux dont les principaux responsables musulmans, chefs de grandes entreprises ou personnalités des médias.
23 février 2017 - A St Louis, des musulmans aident à la reconstruction du cimetière juif profané :
Face à la haine, l’unité. Une collecte de fonds a été lancée en ligne par des musulmans américains pour aider à financer la réparation du cimetière juif Chesed Shel Emeth, près de Saint Louis, où plus de 180 pierres tombales ont été profanées le weekend dernier. Linda Sarsour et Tarek El-Messidi, qui sont impliqués dans les organisations MPower Change et Celebrate Mercy, espèrent «envoyer un message d’unité de la part des communautés juive et musulmane, montrer qu’il n’y a pas de place pour ce type de haine, de profanation et de violence en Amérique» : «Nous prions pour que cela ramène un sens de sécurité et de paix à la communauté juive américaine, qui a sans aucun doute été perturbée par cet événement».
23 février 2017 - JO-2024 : Budapest abandonne, Paris et Los Angeles en duel :
Budapest a jeté l'éponge dans la course aux JO-2024, mercredi soir. C'est donc à Paris ou Los Angeles qu'auront lieu ces Jeux olympiques. Réponse en septembre.
Engluée depuis des mois dans le bourbier généré par l'impopularité de sa candidature auprès de ses habitants, Budapest abandonne finalement la course au JO-2024. Les responsables politiques hongrois ont surpris tout le monde en sifflant dès mercredi la fin de la partie. "Puisque l'union nécessaire à Budapest a été perdue, la candidature a perdu toutes ses chances", a fait savoir dans un communiqué le gouvernement du Premier ministre Viktor Orban. "C'est pourquoi le gouvernement de Hongrie propose de retirer la candidature de Budapest à l'organisation des Jeux olympiques et Paralympiques 2024", est-il écrit dans ce texte diffusé sur le site internet du gouvernement.
La position de Budapest ville candidate était devenue de jour en jour de plus intenable, alors qu'une pétition contre la tenue des Jeux en Hongrie avait rencontré un énorme succès vendredi dernier. Dans la foulée, la société en charge de la candidature avait annoncé samedi qu'elle suspendait ses opérations. Mercredi, tout s'est donc accéléré, jusqu'au point de non-retour. Les autorités ont donc finalement cédé face au mécontentement populaire, alors que le projet avait jusqu'à présent été porté et soutenu avec force par, en premier lieu, le Premier ministre Viktor Orban. Dans l'histoire de cette course à l'organisation des JO-2024, Budapest suit finalement les traces de Hambourg, qui s'était retirée à la suite d'un référendum perdu, et de Rome, ces deux villes arguant de contingences financières.
23 février 2017 - Yannick Jadot se retire de la présidentielle pour soutenir Benoît Hamon :
Au 20 heures de France 2, le candidat des Verts Yannick Jadot a déclaré qu'il retirait sa candidature à la présidentielle pour suivre celle de Benoît Hamon. Le déclic : un accord passé avec le socialiste. «Un accord formidable» désormais soumis à l'approbation des militants qui l'avaient désigné lors de la primaire écologiste. «Ma responsabilité (...), c'est de dépasser les ego, de déporter les appareils politiques et de construire la grande aventure de cette élection présidentielle. Alors oui, ce soir, je retire ma candidature. C'est ce sur quoi voteront tous ceux qui ont participé à la primaire écologiste», a déclaré M. Jadot à France 2.
«L'accord que nous avons trouvé» jeudi en fin d'après-midi est «absolument formidable pour l'espérance», a dit l'eurodéputé. «Benoît Hamon a accepté la sortie du nucléaire en vingt-cinq ans». La fin du projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique) ? «C'est dans l'accord». La proportionnelle ? «C'est dans l'accord», a assuré M. Jadot. «Je serai dans cette campagne, je serai tous les jours pour m'assurer que cet accord est tenu», a-t-il précisé.
23 février 2017 - Vladimir Poutine sous la neige pour le jour du défenseur de la patrie :
Ce jeudi, le président russe Vladimir Poutine a assisté aux célébrations du jour du défenseur de la patrie, commémoré tous les 23 février pour marquer la création de l'Armée rouge. Sous la neige de Moscou, le chef d'Etat a retrouvé de hauts gradés de l'armée russe ainsi que son Premier ministre Dmitri Medvedev.
Dans la journée, Vladimir Poutine s'est également entretenu avec des officiers de la flotte russe de retour de Syrie. L'occasion pour le président russe de réaffirmer ses positions : «Nous ne fixons pas d'objectif de nous ingérer dans les affaires intérieures de la Syrie», a-t-il déclaré. «Plus vite le pays passera à un règlement politique, plus de chances aura la communauté internationale de mettre fin à la peste terroriste sur le territoire syrien». Engagée militairement depuis septembre 2015 en Syrie, la Russie a changé la donne dans le conflit en volant au secours de l'armée syrienne qui était alors en difficulté face aux rebelles appuyés par des pays du Golfe et occidentaux.
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