Qu’ils soient à Matignon à l’Elysée ou à Montesquieu-Volvestre les Socialistes restent sectaires, plutôt intolérants et toujours fidèles aux vieilles lunes du parti. Il suffit de prendre quelques exemples concrets pour en faire la démonstration.

L’IMPOT toujours :

Avec toujours à la bouche les mots de Justice, Egalité, Equité, .. Des notions qu’ils mettent très rarement en pratique, ils se soucient bien peu du sort qu’ils réservent aux salariés les plus pauvres, aux « petits » retraités, aux chômeurs. Il y a des dépenses ? On trouve des recettes mais toujours dans la poche des mêmes. Il ne leur vient même pas à l’idée que de réduire le train de vie de l’Etat, des collectivités locales ou des communes est une exigence morale et politique lorsque le pays est dans la situation que l’on sait. Ainsi les Impôts de Montesquieu-Volvestre ne cessent d’augmenter depuis plus de dix ans. Que dire de ceux de la Communauté de Communes du Volvestre qui veut s’occuper de tout et ne cesse d’augmenter les taxes tout en réduisant les services (ordures ménagères).

Pas de CAP, pas d’OBJECTIFS

Fixer clairement un CAP et des objectifs clairs et chiffrés cela a un inconvénient majeur c’est que l’on ne peut plus dériver sans se déjuger. Alors les socialistes ont adopté l’art du flou. Un coup à gauche un coup à droite pour tenter de contenter tous le monde. On dit et on ne fait pas (cumul des mandats, transparence..). On promet beaucoup (Florange, Sanofi, « pause » fiscale ..) et on ne tient pas les promesses. Mais ce n’est pas ce que veulent les Français qui sont prêts à accepter des sacrifices à condition qu’on leur démontre à quoi ils vont servir et qu’on leur dise à quelle date ils verront le bout du tunnel. A Montesquieu même problématique. Le Maire fait tout à la petite semaine : une année on décide de construire un lotissement communal  de 50 pavillons et deux ans plus tard on s’aperçoit que l’école primaire est trop petite !.. Un jour on décide de faire une crèche en centre village et trois ans après on réalise qu’il n’y a plus de terrain pour construire l’école primaire dont on a besoin…Quelle stratégie !..

CONCERTATION, DIALOGUE, des mots creux…

François Hollande et son Premier Ministre n’ont que ces mots là à la bouche : concertation, dialogue social,… mais ce ne sont que des mots. Certes les partenaires sociaux sont invités, certes on bavarde beaucoup mais tout cela n’est que de la poudre aux yeux puisque finalement ce ne sont que quelques uns qui décident. Les Vincent Peillon, Michel Sapin, Marylise Lebranchu, .. sont les artistes dans le genre et pourtant que ce soit les enseignants, les patrons de PME, les salariés de l’industrie, les personnels hospitaliers, les artisans et commerçants, les fonctionnaires, .. tous disent qu’on ne les écoute pas !..  Montesquieu-Volvestre a bien sur les mêmes problèmes. Jamais une réunion publique au cours de laquelle le Maire pourrait présenter ses projets (mais en a-t-il ?). Pour la concertation toujours des promesses mais elles ne sont jamais tenues. Le plus bel exemple étant l’élaboration du Plan Local d’Urbanisme qui engage la vie de la Commune pour les dix ou quinze prochaines années et qui n’a jamais été discuté avec la population !..Quatre ans pour l’élaboration du Plan, une heure pour l’expliquer alors que tout était déjà bouclé…