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24 mars 2023 5 24 /03 /mars /2023 08:00
manifestation-contre-réforme-retraites-Paris-800 000-personnes-selon-CGT-119 000-selon-préfecture

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Retraites : 800 000 personnes à Paris selon la CGT, record battu

Quelque 800.000 personnes manifestaient jeudi à Paris pour la neuvième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, a annoncé la CGT à l'AFP, alors que le chiffre des autorités n'était pas immédiatement disponible.

C'est le chiffre le plus élevé avancé par le syndicat depuis le début du mouvement, le précédent record dans la capitale remontant au 7 mars, avec 700.000 manifestants, selon la CGT (81.000, selon la préfecture).

La guerre des chiffres continue mais on y est maintenant habitué. La Préfecture de Police annonce 119 000 manifestants à Paris !...

 

 

 

 

manifestation-contre-réforme-des-retraites-violents-incidents-Paris
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Violents incidents dans la manifestation parisienne

Des violences ont éclaté en tête de la manifestation contre la réforme des retraites jeudi à Paris, où plusieurs centaines d'éléments radicaux vêtus de noir ont brisé des vitrines et du mobilier urbain, a constaté un journaliste de l'AFP.

Des personnes, identifiées comme des Black Bloc, ont notamment fracassé les vitres d'une supérette sur le boulevard Saint-Martin, qui mène vers la place de l'Opéra, point d'arrivée du cortège intersyndical parisien.

Ils ont ensuite ramassé pavés et divers projectiles, avant d'attaquer un fast-food McDonald's en scandant: "Ah ! Ah ! Anticapitaliste !", puis un autre peu plus tard.

Une autre supérette a ensuite été dégradée et un "engin incendiaire" lancé dans une banque boulevard Bonne Nouvelle, a précisé la préfecture de police.

Ils ont lancé pavés et bouteilles sur les forces de l'ordre et incendié des poubelles, selon le journaliste de l'AFP.

 

"Environ un millier" d'éléments radicaux, vêtus de noir et équipés de masques et lunettes, sont présents dans le cortège

Peu de temps après le départ du cortège, quelques feux d'artifice avaient déjà été lancés près de la place de la République en direction des forces de l'ordre, qui ont immédiatement répliqué avec des gaz lacrymogènes.

Selon la préfecture de police, "environ un millier" d'éléments radicaux, vêtus de noir et équipés de masques et lunettes, sont présents dans le cortège.

En amont de la manifestation, 2.000 contrôles et 5 interpellations ont été réalisés, selon les chiffres communiqués à 15H00 par la préfecture de police.

Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin avait annoncé mardi que "12.000 policiers et gendarmes" étaient mobilisés jeudi en France dont "5.000 à Paris" pour cette nouvelle journée d'action intersyndicale.

 

 

 

 

 

Laurent-Berger-CFDT-Philippe-Martinez-CGT-manifestation-26-mars-Paris

Laurent-Berger-CFDT-Philippe-Martinez-CGT-manifestation-26-mars-Paris

Manifestation contre les Retraites : Laurent Berger « en appelle à la non violence »

Le secrétaire général de la CFDT a appelé jeudi "au respect des biens et des personnes, à la non-violence", à l'occasion de la neuvième journée de manifestation contre la réforme des retraites, marquée selon lui par un "regain de mobilisation".

 

La prise de parole d'Emmanuel Macron mercredi n'a pas apaisé les esprits. Au contraire

"Jusqu'au bout il va falloir garder l'opinion, c'est notre pépite", et pour cela "il faut des actions non violentes, qui n'handicapent pas le quotidien des citoyens", a expliqué Laurent Berger peu avant le départ du cortège parisien.

Des manifestations émaillées d'échauffourées ont lieu chaque soir à Paris et dans plusieurs grandes villes de France depuis l'adoption au forceps du projet de loi la semaine dernière, à l'aide de l'arme constitutionnelle du 49.3.

La prise de parole d'Emmanuel Macron mercredi n'a pas apaisé les esprits. Au contraire, "il a jeté un bidon d'essence sur le feu", a estimé le numéro un de la CGT, Philippe Martinez, également dans le cortège, rappelant que les syndicats avaient écrit au chef de l'Etat pour l'alerter sur la "situation explosive" du pays.

 

« Il y a une grande colère » déclare Philippe Martinez

Mais "il s'en fout", a ajouté M. Martinez, pointant "une stratégie du gouvernement de mettre en avant des incidents".

"Il y a une grande colère", a-t-il insisté, soulignant le profil plus jeunes que d'ordinaire des manifestants: "Aujourd'hui il y a beaucoup de lycéens, d'étudiants, il y a des facs qui sont bloquées, c'est plutôt une bonne chose".

 

 

 

 

 

Olivier-Faure-Premier-secrétaire-PS-dénonce-violences-policières-

Olivier-Faure-Premier-secrétaire-PS-dénonce-violences-policières-

Sur Twitter, Olivier Faure dénonce l’interpellation violente du fils d’un ami

Le premier secrétaire du Parti socialiste relate sur Twitter l’interpellation émaillée de  brutalités d’un jeune homme, fils de l’un de ses amis.

C’est une initiative peu habituelle pour un premier secrétaire du Parti socialiste. Olivier Faure a publié sur Twitter un long fil relatant des brutalités policières à l’encontre du fils d’un de ses amis, à Paris le 21 mars.

« Je vous raconte l’interpellation de Louis B, fils d’un ami qui vit dans ma circonscription. Ça se passe mardi 21 mars. Louis arrive place de la Bastille vers 22h50/23h. » commence Olivier Faure dans un premier tweet, illustré d’une photo montrant la blessure à la tempe du jeune homme.

D’après le récit du numéro 1 du PS, Louis a été frappé après avoir ironiquement encouragé un groupe de CRS à charger, sans proférer d’insultes, précise Olivier Faure. « Au sol, il prend plusieurs coups, notamment au visage, et sa tête est frappée violemment contre le sol. Il se relève pour se protéger. Il est re-plaqué à terre une deuxième fois. Il est écrasé par trois ou quatre CRS pour lui passer les menottes dans le dos » relate le député, précisant que l’adolescent est « seul, ne présente aucune résistance » et que « côté gabarit c’est pas Mike Tyson ».

Louis a ensuite passé 20 heures en garde à vue et Olivier Faure assure que les policiers ont présenté une version de l’arrestation très différentes des circonstances réelles de l’incident.

Il conclut en présentant un certificat médical consignant de « nombreux hématomes, dermabrasions ainsi qu’une tuméfaction et une lombalgie. »

Pour Olivier Faure, ce récit atteste de la politique « du chiffre » imposée aux policiers et de « l’instrumentalisation de leur rôle à des fins de communication gouvernementale ».

Depuis plusieurs jours, la polémique enfle sur les méthodes de maintien de l’ordre employées notamment lors des manifestations « sauvages » ou « spontanées », le soir, dans plusieurs grandes villes de France, dont Paris. Olivier Faure a donc tenu à apporter sa contribution au débat.

 

 

 

 

 

Manifestation-contre-réforme-retraites-marseille

Manifestation-contre-réforme-retraites-marseille

Une mobilisation record à Marseille annoncent les syndicats

La mobilisation a été massive à Marseille, dans un cortège parti du Vieux-Port pour ensuite passer devant le Mucem et rejoindre la porte d'Aix.

La manifestation jeudi à Marseille contre la réforme des retraites a atteint un record depuis le début du mouvement, selon l'intersyndicale, avec 280.000 personnes dans les rues, contre seulement 16.000 selon la préfecture.

Pour l'intersyndicale, le précédent record datait du 7 mars à Marseille, avec 240.000 personnes recensées selon eux dans la manifestation partie du Vieux-Port.

Avec ce nombre de 16.000 manifestants évalués jeudi, la préfecture de police des Bouches-du-Rhône est par contre très loin de son propre chiffre record depuis le début de cette mobilisation contre le report de l'âge de la retraite à 64 ans, qui était de 40.000 le 31 janvier.

Il est également inférieur aux 26.000 manifestants annoncés par ses services le 19 janvier, à l'occasion de la première journée de manifestation contre cette réforme, ou aux 30.000 recensés le 7 mars.

Ce chiffre officiel de 40.000 manifestants au 31 janvier n'avait pas été atteint depuis une vingtaine d'années à Marseille, selon des décomptes de l'AFP. En 2003, ils avaient été officiellement 50.000 personnes à défiler sur la Canebière contre un précédent projet de réforme des retraites et la décentralisation dans l'éducation.

Selon les journalistes de l'AFP présents sur place jeudi, la mobilisation a en tout cas été massive à Marseille, dans un cortège parti du Vieux-Port pour ensuite passer devant le Mucem et rejoindre la porte d'Aix.

 

C'est bien Emmanuel Macron qui était la cible de nombreux manifestants

Et c'est bien Emmanuel Macron qui était la cible de nombreux manifestants, au lendemain de son intervention télévisée, comme l'illustrait par exemple cette pancarte le représentant en Pinocchio, ou cette autre le qualifiant de "Margaret Macron", en référence à Margaret Thatcher, l'ancienne Première ministre conservatrice britannique.

"49.3, taux d'abstention aux élections", menaçait une autre pancarte brandie par une manifestante, en évoquant les prochaines échéances électorales.

Même la cathédrale de la Major, au passage des manifestants, semblait avoir pris partie, avec une gigantesque banderole déployée au sommet d'une de ses coupoles: "Nik le 49.3, grève générale".

Pour de nombreux manifestants, le risque est maintenant que le mouvement évolue vers "des petites luttes beaucoup plus violentes", comme l'expliquait à l'AFP Jean-Roch Siebauer, professeur de français de 53 ans. Par son attitude, le gouvernement "appelle à des actions directes légalement condamnables mais moralement légitimes", avertissait cet enseignant.

"Je veux voir ma mamie maintenant, pas dans deux ans !!", réclamait de son côté sur sa pancarte un petit garçon de 8 ans et demi.

 

 

 

 

 

Visite-Charles-III-Paris-Versailles-Bordeaux-

Visite-Charles-III-Paris-Versailles-Bordeaux-

Visite de Charles III : à cause des manifestations, le lieu du dîner présidentiel pourrait changer

Les manifestations contre la réforme des retraites pourraient perturber le programme de la venue de Charles III. Le roi d’Angleterre effectuera sa première visite à l’étranger en France, du 26 au 29 mars, depuis son entrée en fonction en septembre 2022. Un dîner avec le président de la République Emmanuel Macron est prévu au château de Versailles. Mais ce repas en grande pompe, avec quelque 200 invités triés sur le volet, pourrait changer de lieu, indique BFMTV mercredi. En raison de la vague de contestation qui secoue le pays depuis des semaines, les autorités réfléchissent en effet à organiser le dîner présidentiel dans un autre endroit. L’Élysée est un lieu envisagé à l’heure actuelle.

 

L’inquiétude des Britanniques

Ce premier déplacement en France inquiète particulièrement les Britanniques, qui observent de loin les manifestations qui mènent parfois à des heurts et à des dégradations dans le pays. La logistique du déplacement royal pourrait ainsi être modifiée. Selon le Daily Mail, les assistants royaux de Charles III ont des échanges après le ministère britannique des Affaires étrangères et les autorités françaises mercredi.

 

Le roi Charles III sera-t-il aussi bon diplomate qu'Elizabeth II ?

Le roi d’Angleterre devrait éviter les bains de foule en France, après avoir déjà été visé par des jets d’œufs et avoir fait l’objet d’insultes et de huées lors de précédentes visites au Royaume-Uni. Cela n’empêchera pas Charles III et son épouse, la reine consort Camilla, d’avoir un agenda chargé en France. Une cérémonie du souvenir à l’Arc de Triomphe est attendue, avant un discours au Sénat du souverain. Puis le banquet d’État est prévu en son honneur le 27 mars, initialement au château de Versailles. Le lendemain, Charles III se rendra à Bordeaux en train. Il ira constater les zones dévastées par des incendies l’été dernier et visitera un vignoble bio.

 

 

 

 

 

Approvisionnement-kérosène-Ile-de-France-devient-critique

Approvisionnement-kérosène-Ile-de-France-devient-critique

Grèves : l’approvisionnement de l’Île-de-France en kérosène « devient critique », alerte l’État

En raison des grèves dans les raffineries, le ministère de la Transition énergétique a alerté que l’approvisionnement en kérosène de l'Île-de-France et de ses aéroports par la Normandie se tendait.

Les grèves dans les raffineries, en contestation de la réforme des retraites, font craindre un risque de pénurie de kérosène pour les avions. Ce jeudi, le ministère de la Transition énergétique a alerté que l’approvisionnement en kérosène de l’Île-de-France et de ses aéroports par la Normandie devenait « critique ». Le gouvernement a ainsi « pris un arrêté de réquisition » pour les grévistes de la raffinerie TotalEnergies de Normandie. Le site est à l’arrêt depuis le week-end dernier et les expéditions de carburants sont bloquées. Le ministère n’a toutefois pas encore « notifié » l’arrêté.

La ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, a fait savoir que la situation était suivie « heure par heure et département par département avec les professionnels et les préfets ». « Nous intervenons de manière ciblée pour débloquer les dépôts qui sont entravés par des manifestants. Dès lors que les réquisitions ne pourront être évitées, nous prendrons nos responsabilités », a-t-elle ainsi prévenu.

 

Des stocks sous tensions depuis des jours

Cela fait déjà plusieurs jours que les compagnies aériennes sont informées par la Direction générale de l’Aviation civile (DGAC) que les réserves de kérosène dans les aéroports de Paris-Charles-de-Gaulle et Paris-Orly « sont sous tension ». La DGAC les a ainsi appelé à la vigilance, publiant deux « notices pour les missions aériennes » (Notam).

La DGAC a conseillé dans un message transmis le 17 mars : « Pour éviter tout problème opérationnel, tous les vols à destination de Paris-CDG sont appelés à emporter le maximum de carburant depuis leur aéroport d’origine, dans la limite des capacités opérationnelles » de l’avion.

Dès le lendemain, une Notam comportant les mêmes instructions a été publiée pour l’aéroport de Paris-Orly, informant également que « les stocks de kérosène à Paris-Orly font l’objet d’une surveillance particulière », à cause de « problèmes de ravitaillement ».

 

 

 

 

 

Eric-Dupond-Moretti-demande-fermeté-aux-juges

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Réforme des retraites : Éric Dupond-Moretti appelle les procureurs à la fermeté

Le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti a demandé «une réponse pénale systématique et rapide» à l'encontre des personnes interpellées en marge des rassemblements contre la réforme des retraites pour «troubles graves à l'ordre public», «atteintes aux personnes et aux biens» et «actes d'intimidation et menaces contre les élus».

Dans une «dépêche» adressée aux procureurs généraux et aux procureurs de la République le samedi 18 mars et dont l'AFP a eu connaissance ce mercredi, le garde des Sceaux appelle les magistrats à «se rapprocher de l'autorité préfectorale» pour que celle-ci «les tienne informés des événements prévus et des moyens mis en œuvre pour sécuriser les manifestations et préserver l'ordre public».

 

La protection des élus et des forces de l'ordre

«Vous attacherez une attention particulière aux infractions qui seraient commises contre des élus», a insisté le ministre dans sa note. «Chaque fois que les circonstances de commission des faits le justifieront, vous apprécierez la possibilité de retenir les qualifications» de l'article «qui dispose qu'est puni de dix ans d'emprisonnement et de 150.000 euros d'amende le fait d'user de menaces, de violences ou de commettre tout autre acte d'intimidation» à l'encontre d'un élu, a-t-il rappelé.

«Vous veillerez à apporter aux procédures conduites dans ce contexte une réponse pénale systématique et rapide», a souligné Éric Dupond-Moretti. «Les faits les plus graves, en particulier les violences commises à l'encontre des élus ou des membres des forces de l'ordre, devront donner lieu à des défèrements dans le cadre de comparutions immédiates, comparutions par procès-verbal, et comparutions sur reconnaissance préalable de culpabilité», a-t-il ajouté.

 

« Les peines d'interdiction de séjour (...) ou d'interdiction de paraître en certains lieux paraissent particulièrement adaptées » selon Éric Dupond-Moretti, ministre de la Justice

«Les autres modes de réponse pénale, notamment les alternatives aux poursuites, seront cantonnés aux faits les moins graves et isolés», a souhaité le ministre. Il a invité les magistrats à requérir «des peines complémentaires permettant d'éviter la réitération des faits». «Les peines d'interdiction de séjour (...) ou d'interdiction de paraître en certains lieux paraissent particulièrement adaptées», a-t-il estimé. «L'importance ou la multiplication des éventuels débordements violents peuvent avoir un impact lourd sur les parquets», a noté Éric Dupond-Moretti, invitant les procureurs généraux soumis à une «charge temporairement accrue d'activité» à déléguer vers des juridictions «moins concernées».

Dans un communiqué publié lundi 20 mars, deux jours après la «dépêche» du ministre aux procureurs, le Syndicat de la magistrature (SM, classé à gauche) avait exigé que l'autorité judiciaire ne soit «pas au service de la répression du mouvement social». «Notre place n'est pas dans les salles de commandement car en nous associant aux autorités de police en amont de la réponse judiciaire, nous contribuons à la pénalisation du mouvement social et nous nous privons de notre capacité de contrôle en aval. Notre place n'est pas au côté des préfets pour préparer la répression des manifestants mais de protéger les justiciables dans l'exercice de leur citoyenneté. Notre contrôle de toutes les procédures initiées lors des manifestations doit être exigeant et minutieux», avait indiqué le SM.

Depuis le 16 mars, date du recours au 49.3 par le gouvernement pour l'adoption de la réforme des retraites, plusieurs centaines de manifestants ont été interpellés en France, leurs gardes à vue se soldant le plus souvent par un classement sans suite. Ainsi à Paris, selon le dernier bilan consolidé du parquet, 425 personnes ont été placées en garde à vue lors des trois premières soirées de manifestations spontanées, de jeudi à samedi, dont seules 52 ont fait l'objet de poursuites à l'issue.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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