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19 novembre 2020 4 19 /11 /novembre /2020 08:00
LA MARCHE DU MONDE (1636) : 18 NOVEMBRE 2020

Mercredi 18 Novembre 2020 – point sur le Coronavirus le 17 Novembre au soir :

La France passe ce mardi 17 novembre la barre des deux millions de cas de Covid-19 détectés depuis le début de la pandémie a affirmé le directeur général de la Santé Jérôme Salomon. Au total, il y a 2.036.755 cas confirmés a-t-il précisé lors d'un point de presse, soit 45.522 cas détectés en 24 heures.

437 personnes atteintes du Covid-19 sont décédées ces dernières 24 heures à l'hopital, et 791 personnes sont mortes dans des établissements médico-sociaux et en Ehpad depuis vendredi, portant le nombre total à 46.273. À ce jour 4 854 patients atteints de Covid-19 sont en réanimation. Mais Jérôme Salomon a tenu à souligner que «nos efforts commencent à porter leurs fruits».

"Des dispositions de freinage", c'est-à-dire des mesures de restriction, "perdureront" après le confinement, a néanmoins déclaré mardi Jean Castex à l'Assemblé nationale, en précisant que l'épidémie de Covid-19 devrait être "gérée plus dans la durée".

"Mieux la phase actuelle de confinement produira ses effets, plus vite nous pourrons passer à une phase suivante, mais qui ne sera pas un retour à l'ante confinement", a affirmé le Premier ministre devant la commission d'enquête de l'Assemblée sur la gestion de la crise du coronavirus. "C'est-à-dire qu'il y aura des dispositions de freinage qui perdureront", par exemple dans certains "ERP" (établissement recevant du public, ndlr) "parce que la situation se sera améliorée mais pas suffisamment", a-t-il poursuivi. "L'idée est que nous gérions plus dans la durée", a-t-il ajouté, plaidant pour "éviter le stop and go", c'est-à-dire l'alternance de périodes de confinement et de déconfinement.

Le Premier ministre a rappelé qu'une échéance au 1er décembre avait été fixée par Emmanuel Macron afin de revoir ou non les modalités de l'actuelle confinement. La France a franchi mardi la barre des deux millions de cas confirmés, a annoncé le directeur général de la Santé Jérôme Salomon.

 

 

 

 

 

LA MARCHE DU MONDE (1636) : 18 NOVEMBRE 2020

Mercredi 18 Novembre 2020 – Contrôlé pour la 4e fois sans attestation, il part en prison :

Un jeune homme contrôlé à Dunkerque sans attestation pour la quatrième fois a été condamné le week-end dernier à deux mois de prison ferme, en sus de l'exécution de deux peines antérieures, et a été incarcéré, a annoncé la police sur Twitter. "Samedi à #Dunkerque, le mis en cause âgé de 22 ans, est de nouveau contrôlé sans #attestation valable par les policiers. Interpellé et jugé en comparution immédiate, 2 mois de prison ferme et incarcéré", a rapporté la police du Nord sur son compte Twitter.

Ce jeune homme, dont le casier judiciaire comporte 12 condamnations, a été contrôlé vendredi pour la quatrième fois dans la rue en quelques jours, sans pouvoir présenter d'attestation ou donner de justification à sa présence, a précisé le procureur de Dunkerque, Sébastien Piève. Il a été condamné à deux mois ferme pour ces violations des règles du confinement mais est parti en prison pour 14 mois en raison de la mise en application de deux peines de 6 mois antérieures.

Si ces violations répétées restent relativement rares par rapport à la masse des contraventions, en une semaine, quatre personnes ont été condamnées dans le ressort du tribunal judiciaire de Dunkerque, a expliqué le procureur. Outre le jeune homme incarcéré, deux personnes ont écopé de travaux d’intérêt général et une troisième, déjà condamnée pour violation du premier confinement au printemps et donc en état de récidive légale, a également été condamnée à deux mois de prison ferme.

 

 

 

 

 

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Mercredi 18 Novembre 2020 – Covid-19 : Macron devrait préciser la semaine prochaine la sortie progressive du confinement :

Emmanuel Macron devrait s'exprimer en milieu de semaine prochaine pour annoncer les étapes et les modalités d'un "déconfinement progressif", en fonction de la situation sanitaire, a-t-on appris de source proche de l'exécutif, confirmant les informations de plusieurs médias.

Cette intervention, dont la date et le format n'ont pas été encore calés, interviendra quelques jours avant l'échéance du 1er décembre, fixée par le chef de l'Etat lorsqu'il avait annoncé le reconfinement national le 28 octobre.

Parmi les questions que l'exécutif devra trancher figurent la date de réouverture des commerces non essentiels, qui réclament une reprise dès le 27 novembre, ainsi que les possibilités de déplacement et de rassemblements pendant les fêtes de fin d'année. Un "allègement" du confinement devrait aussi concerner les cérémonies religieuses. "Le déconfinement sera progressif", a souligné la même source, l'exécutif voulant avant tout éviter un troisième reconfinement.

Parmi les scénarios étudiés figurent par exemple l'instauration d'un couvre-feu avec des dérogations possibles pendant les fêtes, même si Jean Castex a déjà averti que celles-ci ne pourraient pas se passer normalement, avec des réunions en grand nombre. Un nouveau conseil de défense sanitaire doit se tenir mercredi à l'Elysée pour faire le point de la situation.

 

 

 

 

 

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Mercredi 18 Novembre 2020 – Animaux mutilés : encore huit attaques en plein confinement :

Le 18 octobre, c’est un taureau émasculé qui est retrouvé par un paysan en plein champ, près de Parthenay dans les Deux-Sèvres. Le 28 octobre, dans l’Orne, c’est un vieux cheval qui est mutilé à l’arme blanche. Deux jours tard, dans l’enclos voisin, deux poneys sont drogués mais découverts à temps par le propriétaire. Le 31 octobre, une jument est tuée, l’oreille découpée, dans le Béarn. Le 7 novembre, un veau de race limousine âgé de 15 jours esrt abattu dans un pré isolé, l’oreille gauche tranchée. Les cas se succèdent inexorablement et on trouve rarement d’explication. Sur un total de 400 animaux mutilés, les enquêteurs ont conclu à une intervention humaine avérée pour 80 cas. Les autres auraient été attaqués par des animaux errants ou des charognards.

Les modes opératoires changent, les affaires se multiplient sur le territoire mais les gendarmes refusent de fait à parler de « sérialité » entre les affaires dispersées dans toute la France. Les enquêtes sont menées au niveau local par des brigades et section de recherches de gendarmerie, avec, en appui, des vétérinaires de la Garde républicaine et des experts scientifiques de l’Institut de recherche criminelle (IRCGN). Les informations sont centralisées par l’Office central des atteintes à l’environnement et la santé publique (OCLAESP). Résultat, quelques interpellations de « profils déviants » ou de zoophiles selon des sources judiciaires. Mais les agressions continuent dans les campagnes et suscitent angoisse, panique et drames humains chez les éleveurs et propriétaires. C’est devenu une véritable psychose.

« On a compté huit cas en plein confinement, s’insurge Céline, une éleveuse qui témoigne sous pseudonyme par crainte de représailles. Ce qui est insupportable dit-elle, c’est que des blessures reconnues comme d’origine humaine dans certains départements ne le sont pas dans d’autres. Quand un animal est mutilé au niveau de l’anus et que ses viscères sont intactes on peu difficilement penser que la cause est un chien errant ? C’est de la barbarie ».

 

 

 

 

 

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Mercredi 18 Novembre 2020 – Lutte contre l'islam radical et les "séparatismes" : le "projet de loi confortant les principes républicains" finalisé :

Le gouvernement a mis la dernière main à son projet de loi destiné à lutter contre l'islam radical et les "séparatismes" en le complétant avec des dispositions contre la haine en ligne, annoncées par Emmanuel Macron après l'assassinat de l'enseignant Samuel Paty qui a bouleversé le pays.

Ce texte, dont l'AFP a pris connaissance mardi, ne reprend pas le terme de "séparatismes" employé par le chef de l'Etat lors de son discours du 2 octobre au Mureaux (Yvelines), où il avait appelé à "s'attaquer au séparatisme islamiste". Ni celui de "laïcité". Sobrement, il s'intitule "projet de loi confortant les principes républicains".

Dans un entretien croisé au Figaro mis en ligne mardi soir, le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti et le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin ont défendu ensemble le texte qui doit être examiné en Conseil des ministres le 9 décembre. Le texte a été transmis ce mardi aux présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat, précise Gérald Darmanin. Comme souhaité par le chef de l'Etat, le projet de loi crée un délit réprimant la haine en ligne et des sanctions spécifiques pour les pressions exercées sur des agents de l'Etat ou des élus. Un pôle de magistrats spécialement dédié à la lutte contre la haine en ligne, sera également créé. "Nous allons faire en sorte que ceux qui diffusent ce poison qu'est la haine en ligne soient immédiatement jugés devant le tribunal correctionnel dans le cadre d'une comparution immédiate", a précisé mercredi le ministre de la Justice sur RTL.

 

 

 

 

 

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Mercredi 18 Novembre 2020 – Des chasseurs de l’Oise organisent des repas collectifs alcoolisés pendant le confinement :

Dans les communes de Grandru et Morienval, dans l'Oise, des chasseurs ont organisé des repas collectifs avec distribution d’alcool, sans respect des mesures-barrières et notamment de l’obligation du port du masque.

La préfecture de l'Oise a complètement interdit la chasse dans deux communes du département à la suite de violations des règles sanitaires le week-end dernier par des chasseurs qui ont organisé des repas collectifs, a-t-elle annoncé mercredi.

"La préfète de l'Oise a pris connaissance avec consternation de deux manquements graves aux règles sanitaires rapportés par des inspecteurs de l'Office français de la biodiversité" samedi 14 novembre, "des regroupements avec repas collectifs et bar ouvert avec distribution d’alcool, sans respect des mesures-barrières et notamment de l’obligation du port du masque", indique-t-elle dans un communiqué.

En cette période de confinement pour tenter de contenir l'épidémie de Covid-19, seule la chasse de régulation de la faune sauvage est autorisée, pour certaines espèces, et tous les regroupements et repas pris en commun sont proscrits.

A la suite de ces manquements, la préfète de l'Oise, Corinne Orzechowski, a décidé d'interdire "de pratiquer tout type de chasse, même de régulation de la faune sauvage" dans les deux communes concernées, Grandru et Morienval.

Elle rappelle que les indicateurs de l'épidémie restent "préoccupants" dans le département avec, au 13 novembre 2020, "des taux d'occupation en réanimation covid de 64% et d'occupation total en réanimation de 82% dans la région".

 

 

 

 

 

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Mercredi 18 Novembre 2020 – L'examen du texte "sécurité globale" provoque de fortes tensions :

L'examen d'une kyrielle de mesures sécuritaires, dont l'encadrement controversé de la diffusion de l'image des policiers et gendarmes, a débuté mardi soir à l'Assemblée nationale sur fond de contestations dans l'hémicycle comme dans la rue. Les députés ont commencé à s'atteler à la proposition de loi "sécurité globale" portée par LREM et son allié Agir, et ses 1.300 amendements vers 21 heures alors que de sérieuses échauffourées ont éclaté entre plusieurs centaines de personnes et les forces de l'ordre à la fin d'un rassemblement près du Palais Bourbon en dépit du confinement. D'autres rassemblements réunissant au total plusieurs milliers de manifestants ont eu lieu à Lyon, Grenoble, Toulouse, Bordeaux, Marseille ou encore Rennes.

Dans la ligne de mire des manifestants: une loi jugée "liberticide" mais destinée "à protéger ceux qui nous protègent", les forces de l'ordre, selon le ministre de l'Intérieur Gérard Darmanin. "Lisons le texte sans fantasmes", a-t-il demandé mardi soir, dans un hémicycle où avaient pris place de nombreux députés de tous bords. "La liberté recule dans notre pays", lui a répondu le chef de file des députés LFI Jean-Luc Mélenchon, défendant une motion de rejet préalable qui a récolté 41 voix pour et 281 contre.

Deux ans jour pour jour après le début du mouvement des "gilets jaunes", M. Mélenchon s'est livré à un réquisitoire des orientations sécuritaires de l'exécutif, provoquant remous et interpellations sur les bancs de la majorité et de la droite. Le député LR Eric Ciotti a accusé le leader LFI d'alimenter la "haine des nervis d'extrême gauche" et a salué mollement un texte qui contient des "mesures positives". Pour Marine Le Pen, il n'est "pas à la hauteur des enjeux". Initialement la proposition de loi ne devait être que la traduction d'un rapport parlementaire consacré au "continuum de la sécurité" avec de nouvelles prérogatives pour les polices municipales et la structuration du secteur de la sécurité privée. Les députés aborderont d'abord ces deux thématiques réputées plus consensuelles, mais qui n'échapperont pas aux banderilles des oppositions, les communistes rejetant en bloc "un désengagement de l'Etat sur ses missions régaliennes". A l'inverse, le groupe Agir souhaite aller plus loin et notamment généraliser l'armement de la police municipale. Mais c'est le dernier versant du texte qui sera le plus périlleux avec une série de mesures sécuritaires controversées pour lesquelles la place Beauvau a tenu la plume.

La disposition la plus polémique est l'article 24 qui prévoit de pénaliser d'un an de prison et de 45.000 euros d'amende la diffusion de "l'image du visage ou tout autre élément d'identification" d'un policier ou d'un gendarme en intervention lorsque celle-ci a pour but de porter "atteinte à son intégrité physique ou psychique". Soutenue par les syndicats policiers, la mesure fait bondir représentants des journalistes et défenseurs des libertés publiques qui dénoncent "une atteinte disproportionnée à la liberté d'expression". "Cette loi n’a pas d’utilité parce dans le droit pénal français, il y a déjà plusieurs dispositions pour protéger les policiers et sanctionner" ceux qui voudraient leur nuire, a assuré l'avocat Arié Alimi, de la Ligue des droits de l'homme, lors du rassemblement parisien.

 

 

 

 

 

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Mercredi 18 Novembre 2020 – Sur Internet, écoles musulmanes, salafistes… Un flou dangereux :

Depuis le projet de loi contre les séparatismes et l’assassinat de Samuel Paty, l’école à la maison est dans le viseur de l’Etat. Des formes d’enseignement en ligne, qui n’ont pas de statut scolaire, ouvrent la porte à l’endoctrinement des plus jeunes. Comme l’ont constaté nos reporters. Effrayant.

« Je ne suis pas en accord avec la République mais en accord avec Dieu. Et la religion passe avant tout. » Ainsi s’exprime Asma1 sur un groupe privé Facebook interdit aux hommes. Le forum rassemble des mères qui dispensent l’école à la maison à leurs enfants. Une pratique tout à fait légale dans laquelle les salafistes se sont engouffrés. Les lois du 28 mars 1882 dites « lois Jules Ferry » ont instauré pour tous les enfants, âgés de 3 à 16 ans, une obligation scolaire, autorisant néanmoins que cet enseignement soit dispensé au sein de la famille. Cette année encore, près de 30 000 enfants (0,3 %) n’arpenteront pas les couloirs des écoles. Le nombre a doublé en dix ans, selon le ministère de l’Education nationale. « Ce chiffre ne repose sur aucune statistique sérieuse, on se le trimballe depuis des années, mais personne ne peut nous dire d’où il sort, déplore la députée PS George Pau-Langevin, auteure d’une mission flash sur la déscolarisation avec sa collègue LREM Anne Brugnera. Dans les faits, on a découvert que l’Education nationale n’a pas la liste des enfants qui suivent l’école à la maison. » L’instruction en famille pour des raisons religieuses concerneraient environ 3 000 enfants, selon Anne Brugnera.

Trois options s’offrent aux parents qui refusent de confier l’éducation de leurs enfants à l’école de la République : les inscrire dans un institut privé sous contrat, dans un établissement hors contrat ou encore choisir l’instruction à la maison. Les écoles privées sous contrat ont signé une convention d’association avec l’Etat. Cela permet aux établissements de bénéficier de subventions pour pallier aux frais de fonctionnement, notamment les salaires des enseignants. Côté hors contrat, le financement provient uniquement de fonds privés et l’établissement n’a pas l’obligation de respecter le volume horaire d’enseignement ni les programmes scolaires, tout en restant tenu de faire progresser les élèves sur le socle commun des compétences, de connaissances et de la culture. Laïques, à pédagogies alternatives ou confessionnelles, ces structures demeurent très surveillés.

Au moins quatre écoles musulmanes qualifiées de salafistes ont fait l’objet d’une fermeture entre 2018 et 2020 sur décision de l’Etat. Pour contourner ces contrôles de plus en plus stricts, les salafistes ont opté pour la promotion de l’instruction en famille (IEF) et ainsi ont pu éloigner leurs enfants de la culture française dite « haram » (impure). Ce que confirme Asma lors de notre échange sur Facebook : « Je suis salaf, je ne veux pas que mes enfants se familiarisent avec des fêtes comme Noël ni que ma fille se retrouve avec des garçons. Les cadeaux au pied du sapin et autres traditions françaises ne sont pas dans nos valeurs. »

 

 

 

 

 

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Mercredi 18 Novembre 2020 – Face à la deuxième vague de covid-19, la Corée du Sud interdit de chanter pendant les concerts :

La Corée du Sud est un modèle dans la gestion de la crise du covid-19. Avec seulement 497 morts depuis le début de la pandémie, et environ 29 000 cas, le pays qui était, après la Chine, la région la plus touchée en début d’année, a su endiguer la crise. Mais aujourd’hui, alors que l’épidémie de grippe arrive, la Corée du Sud fait face à ce qu’elle considère déjà comme une deuxième vague de coronavirus. Malgré les mesures très strictes de distanciation sociale, de contact-tracing et de tests massifs, 230 nouveaux malades, dont 202 infections locales, ont été annoncés mardi, pour la quatrième journée consécutive. Face à ce regain de tests positifs, le Premier ministre Chung Sye-kyun a déclaré que «les efforts contre le coronavirus étaient face à une crise, particulièrement dans la métropole de Séoul», indique l'agence de presse Yonhap.

Chung Sye-kyun n’a donc pas attendu que la situation empire pour annoncer de nouvelles décisions qui «provoqueront malheureusement des inconvénients dans nos vies quotidiennes». «Mais nous savons tous d’expérience que la crise sera pire si nous n’agissons pas dès maintenant», a-t-il ajouté. Les autorités sanitaires ont indiqué avoir découvert des clusters dans les bureaux, les centres médicaux et quelques rassemblements dans les zones peuplées de Séoul, ville qui abrite la moitié de la population du pays.

Pour stopper immédiatement la propagation du virus, les bars, clubs, salles de spectacle devront adopter de nouvelles règles strictes. Ainsi, ces établissements doivent laisser un mètre de distance entre les tables ou installer des parois. Les rassemblements politiques, festivals et concerts ne pourront accueillir que 100 personnes et il sera interdit au public de manger, crier ou chanter. Les églises – très surveillées après qu’un rassemblement a formé le plus gros cluster du pays en début de crise – et les évènements sportifs devront être limités à 30% de leur capacité et les salles de classe remplies aux deux tiers.

 

 

 

 

 

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Mercredi 18 Novembre 2020 – Trump limoge un responsable qui conteste ses accusations de fraude :

Donald Trump a annoncé mardi limoger le patron de l'agence gouvernementale en charge de la sécurité des élections, qui a contesté les accusations faites par le milliardaire républicain de fraudes "massives" à la présidentielle. "La récente déclaration de Chris Krebs sur la sécurité des élections de 2020 était très inexacte, puisqu'il y a eu des irrégularités et des fraudes massives", a écrit le président sortant, qui nie toujours sa défaite au scrutin de novembre, dans un tweet.

"C'est pourquoi, Chris Krebs a été démis de ses fonctions de directeur de l'agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures, avec effet immédiat." Cette agence gouvernementale baptisée CISA, s'efforçait ces derniers jours à rejeter les accusations de fraude électorale de grande ampleur.

"Il n'existe aucune preuve d'un système de vote ayant effacé, perdu ou changé des bulletins, ou ayant été piraté de quelque façon que ce soit", avait-elle souligné dans un communiqué, aux côtés d'autres agences américaines chargées de la sécurité des élections. "L'élection du 3 novembre a été la plus sûre de l'histoire des Etats-Unis", assuraient-elles encore. "Ce fut un honneur de servir", a réagi M. Krebs dans un tweet assorti du mot-dièse #Protéger2020.

 

 

 

 

 

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Mercredi 18 Novembre 2020 – Scènes de chaos en Amérique centrale, dévastée par l’ouragan Iota :

Iota, un ouragan devenu tempête tropicale, est entré mercredi au Salvador après avoir déjà fait au moins dix morts et d'énormes dégâts en Amérique centrale, notamment au Nicaragua où des milliers de personnes sont isolées, sans eau potable ni électricité. Les pluies diluviennes déversées par Iota continuent de ravager des régions d'Amérique centrale déjà dévastées il y a deux semaines par un précédent ouragan, Eta. Iota a fait au moins six morts au Nicaragua dont deux enfants, un mort au Panama et deux autres dans un archipel colombien.

Le phénomène va se maintenir en tempête tropicale et balayer le Salvador d'est en ouest avec des vents soutenus pour atteindre vers 12H00 GMT l'océan Pacifique où il devrait alors se dégrader, a indiqué à l'AFP Roberto Gonzalez, météorologue à l'Observatoire du ministère de l'Environnement.

 

 

 

 

 

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Mercredi 18 Novembre 2020 – Géants de la tech : malheur aux vaincus :

Pour le créateur du fonds Alpha Intelligence Capital et ex-patron du cabinet de conseil Roland Berger, la menace représentée par les titans n’a jamais été aussi forte. « Les géants mondiaux de la tech atomisent nos modèles économiques et sociaux sans rien offrir en échange », accuse ce centralien diplômé de Harvard, déjà auteur de plusieurs livres sur l’intelligence artificielle.

Nourris par l’abondance d’argent « gratuit » distribué depuis la crise financière, dopés par des taux d’intérêt toujours plus bas, les Google, Amazon ou Alibaba ont simultanément favorisé l’émergence du populisme en propulsant la planète dans un univers virtuel, gouverné par des algorithmes. « La vérité des faits, base indispensable du capitalisme, a été abolie », estime Charles-Edouard Bouée.

Les titans de la tech ont donc à leur tour enfanté ceux de la géopolitique, tout aussi destructeurs. De Trump à Bolsonaro, les populistes imposent leur volonté de puissance sans apporter en retour la protection promise aux électeurs. Et la pandémie, pour l’auteur, aggrave encore la situation : les plus forts survivront, les plus faibles en sortiront encore plus démunis.

 

 

 

 

 

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Mercredi 18 Novembre 2020 – Castex n'exclut pas une réouverture des petits commerces fin novembre :

Le gouvernement prévoit pour l'instant la possibilité d'une réouverture au mardi 1er décembre, si l'épidémie de Covid -19 continue d'évoluer favorablement. Mais l'exécutif fait dans le même temps face aux demandes pressantes de commerçants, soutenus par des élus, en faveur d'une réouverture dès le 27 novembre, jour du Black Friday. Une accélération poussée aussi par le ministre de l'Economie Bruno Le Maire.

Si lundi Matignon rappelait que l'horizon était fixé au 1er décembre et martelait sa volonté de ne pas se laisser dicter son calendrier par "une opération commerciale", le Premier ministre a semblé nuancer son propos devant les dirigeants de la majorité mardi matin. "Il n'est pas contre" une réouverture le 27 novembre "mais il est très prudent et pas encore optimiste", assure ainsi à l'AFP un participant à la réunion.

Deux autres participants à la réunion ont confirmé cette légère inflexion, tout en soulignant que rien n'était "tranché à ce stade" car "cela va vraiment dépendre de l'évolution sanitaire cette semaine". Le président Emmanuel Macron, a-t-on par ailleurs appris de source proche de l'exécutif, devrait s'exprimer en milieu de semaine prochaine pour annoncer les étapes et les modalités d'un "déconfinement progressif".

Interrogé mardi soir par la Commission d'enquête de l'Assemblée nationale, Jean Castex s'est gardé de préciser une date de réouverture: "Si les indicateurs épidémiologiques suivent la tendance, alors autour du 1er décembre (...) on pourra effectivement envisager de rouvrir les commerces qui ne sont pas de première nécessité", a-t-il déclaré.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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