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29 septembre 2019 7 29 /09 /septembre /2019 07:00
TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

 

 

ILES DE LERINS  (ALPES-MARITIMES)

MONASTERE DE SAINT-HONORAT

 

 

L’ile de Saint-Honorat appartient à l’archipel de Lérins  situé en Méditerranée, dans le département des Alpes-Maritimes.

L'archipel se compose de deux grandes îles : au nord, Sainte-Marguerite, la plus étendue, célèbre pour son fort qui aurait abrité l'Homme au masque de fer, et au sud, Saint-Honorat, plus petite, connue pour son monastère.

La première trace de vie humaine sur l'archipel a été localisée au nord de l'île Sainte-Marguerite, sous forme de tessons datés du VIème siècle av. J.-C. À cette époque, une importante partie de la région provençale et de l’Italie du Nord est colonisée par une population dite Ligures. Une pratique caractéristique de cette population, diffusée sur l’ensemble de leur territoire, consiste en l’édification de structures défensives, connues sous le nom latin d’oppidums, au moyen de massifs blocs de pierre disposés en un cercle plus ou moins large. Au-delà de leur fonction de protection, ces bastions servaient principalement de refuge public pour une petite communauté villageoise.

Les premiers lériniens constituaient ainsi une colonie ligure, basée dans son oppidum au nom latin de Vergoanum sur l'île Lerina, base défensive s'élevant au point culminant de l'archipel. Au site du Suquet se trouvait alors un second oppidum, à l'avenir plus glorieux car il deviendra la ville de Cannes, et ces deux bastions assuraient la protection des côtes provençales. La communauté de Vergoanum vivait alors de la chasse, de la pêche et de la cueillette, approvisionnée en eau douce par de nombreuses sources littorales, aujourd'hui sous-marines. Selon Pline, l'île Lerina serait celle où se trouvait l'oppidum, et donc aujourd'hui Sainte-Marguerite, tandis que Lero sera devenue l'île Saint-Honorat. .

En parallèle aux activités ligures, les Grecs, qui naviguent dès le Vème siècle av. J.-C. entre Massalia (Μασσαλια, Marseille) et Antípolis (Άντίπολις, Antibes), utilisent la seconde île, Lero, inhabitée car plus petite et plus exposée que Lerina, comme escale pour s'y ravitailler.

Avec les siècles, la population ligure fait évoluer son bastion rupestre en oppidum davantage urbanisé, composé de rangées de pièces de 8 mètres sur 4 mètres, séparées par des ruelles avec égout couvert, et protégé par un épais rempart. Les habitations les plus hautes, situées à l'emplacement original de l'oppidum, proposent une architecture incontestablement ligure, tandis qu'une banlieue descendant vers l'étang du Batéguier, à l'ouest, présente une romanisation caractérisée commencée dès l'an 100 av. J.C. ; jusqu'ici, les ligures étaient restés relativement hermétiques aux influences helléniques. Cette transformation de l'architecture lérinienne s'explique par l'annexion de la région Narbonnaise à l'Empire romain en an 122 av. J.C. ; et il apparaît avec certitude que l’archipel passe sous contrôle romain dès la fin du IIème siècle av. J.-C.

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

Carte des Iles de Lérins

 

 

 

Le passage au Moyen Âge de l'archipel lérinien est fait en l'an 410, date à laquelle un important séisme frappe la Côte d'Azur. Il en subsiste encore des traces au sein de ruines gréco-romaines, notamment à Antipolis, cité la plus durement touchée par la catastrophe. Un raz-de-marée déferle sur les littoraux, provoquant une nette hausse du niveau de la mer, comme en témoignent des vestiges en partie immergés au sud-ouest du cap d'Antibes. Sur Lerina, les dégâts sont immenses : le quartier ouest de la cité, important port de commerce des côtes de la Narbonnaise, se trouve également submergé, certains bâtiments se retrouvant à plus d'un mètre sous le niveau de la mer. Des sources littorales, rares points d'approvisionnement en eau douce de l'archipel tout entier, deviennent inaccessibles. Seul le terre-plein originel de Vergoanum, point culminant de l'archipel et cœur de la cité, se trouve relativement à l'abri. Les Lériniens sont ruinés et une importante partie de la surface émergée de l'archipel est perdue.

Cette terrible catastrophe est souvent assimilée à Honorat. Fraîchement arrivé sur Lero, île désertée par ses habitants du fait du cataclysme et retournée à l'état sauvage, le futur saint se heurte à une invasion de reptiles. Cette recrudescence de serpents et scorpions, bien qu'inoffensive, nuit fortement à la création de son monastère ; il se doit donc de purger l'île de cette menace. Levant la main sur ces hôtes superflus, Honorat les réduit à l'état de cadavres pourrissants. Pour s'en débarrasser, il fait monter ses six compagnons au sommet d'un palmier et ordonne aux flots de s'emparer des terres de l'île ; lavée à grande eau, Lero est prête à accueillir la vie monastique. C'est en souvenir de ce miracle que les armoiries de l'abbaye de Lérins sont composées d'une crosse abbatiale flanquée de deux serpents enlaçant de leur queue une palme. Mais la future abbaye souffre, à l'instar des Romains de Lerina, de la disparition des ressources aquifères de son île. Honorat accomplira un dernier miracle pour étancher la soif de ses compagnons, en plantant un bâton dans le sol et faisant jaillir une source intarissable du sol ; c'est le puits Saint-Honorat, aujourd'hui équipé d'une pompe et d'une éolienne, et qui permit la survie du monastère au fil des siècles.

Le monastère de l'île Saint-Honorat est fondé vers 410 (ou vers 400, selon Jacques Biarne) par l'ermite Honorat. Son expansion est rapide, et les disciples accourent de l'Europe entière vers la retraite d'Honorat (tel saint Loup de Troyes), tout comme les pèlerins, qui y reçoivent les mêmes indulgences que pour un voyage en Terre sainte. Ils font, pieds nus, le tour de l'île, s'arrêtant à chacune des sept chapelles périphériques ; on voit un pape, en visite à Lérins, suivre avec humilité cette antique tradition. Des fidèles venus de France et d'Italie demandent à s'y faire enterrer.

Les îles de Lérins se relèvent rapidement, à la suite de la catastrophe ayant provoqué la chute de la cité romaine, et le commerce reprend sur chacune des deux îles. Les moines, qui possèdent l'île tout entière, mettent en culture leur territoire, récoltent de la lavande et du miel, et fabriqueront même une liqueur à base de quarante-quatre plantes, locales et étrangères à l'archipel, la Lérina. En 427, l'abbaye est devenue un « immense monastère », comme le rapporte Jean Cassien. Composé de deux cloîtres superposés, d'une salle du chapitre, d'un chauffoir, de cuisines, de dortoirs, de cellules, d'un scriptorium, d'une suite réservée à l'abbé, et de trois chapelles, on a pu en dire qu'il comportait quatre-vingt pièces et plus de cent portes.

Outre son intérêt architectural remarquable, le monastère de Lérins rayonne dans toute l'Europe de par le nombre impressionnant d'abbés et d'évêques qu'il a formé au long de son existence. Surnommé « pépinière d'évêques » du fait qu'il en ait formé un grand nombre aux Vème et VIème siècles, dont le futur saint Patrick, évangélisateur de l'Irlande ou Eucher de Lyon, c'est le tout premier monastère fondé en Occident.

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT – Vue générale du monastère

(Photo Esby)

 

 

 

La vie monastique y est d'abord régulée par la Règle des Quatre Pères, rédigée par saint Honorat lui-même à la fondation de son abbaye. Elle ne sera remplacée qu'à la fin du VIIème siècle, par la règle bénédictine, qui, après avoir conduit à l'assassinat de Saint-Aygulf en 660, une fois qu'il ait tenté de l'instaurer à Lérins, permettra au monastère de bénéficier d'importantes donations grâce auxquelles il peut essaimer en Provence, où il fonde une centaine de couvents.

Dès le IXème siècle, le monastère doit faire face à des raids fréquents. Il sera notamment pillé par les pirates sarrasins en 1003, 1047, 1107 et 1197. Le raid le plus grave, celui de 1047, vit l'enlèvement de nombreux moines qui furent séquestrés en Espagne musulmane, à Tortosa et à Dénia, avant d'être rachetés par l'abbé Isarn de Marseille.

Après de multiples attaques aussi futiles que coûteuses à la communauté de Lero, il est instauré au XIVème siècle un système de signalisation entre la tour fortifiée du monastère et la tour du Suquet, située à Cannes.

En mai 1400 l'île est de nouveau pillée, cette fois-ci par des corsaires génois commandés par un certain Salageri de Nigro, avant d'en être chassé par le sénéchal de Provence, Georges de Marle ; dès lors, l'abbaye sera gardée par des soldats qui habiteront dans les endroits fortifiés du monastère.

Lors de la guerre de Trente Ans, les Espagnols s’emparent des îles en septembre 1635, et n’en sont chassés qu’en mai 1637 par Henri de Sourdis, chargé de reconquérir l'ile Sainte-Marguerite (le bronze des canons espagnols confisqués fût fondu en la cloche de l'Église Saint-Seurin, qui passe pour être la plus ancienne cloche de Bordeaux). Commencé par Richelieu, le fort royal de l'île Sainte-Marguerite a été reconstruit par les Espagnols, en 1635, puis aménagé par Vauban.

En plein règne de Louis XIV, c'est sur l'île Sainte-Marguerite que sera enfermé le prisonnier le plus célèbre de France : le 4 septembre 1687, l'Homme au masque de fer est conduit au fort royal par l'officier Saint-Mars, chargé de sa surveillance, pour un séjour de 11 ans dans une cellule face à Cannes. Saint-Mars, fatigué de l'ambiance lérinienne, quitte l'île en 1698 avec son prisonnier, qui décédera à la Bastille en 1703. Son identité n'a jamais été révélée et reste inconnue à ce jour.

En 1706 les Anglais de l'amiral Sir Cloudesley Shovell s'emparent des îles de Lérins pour aider l'offensive du duc de Savoie Victor Amédée II qui, après avoir chassé les envahisseurs français, en 1707 pousse vers Toulon ; mais les Savoyards, après avoir attaqué cette ville en juillet et en août, la nuit entre le 22 et le 23 de ce mois se replient vers Nice, dont le château avait été détruit par ordre de Louis XIV en 1706.

Pendant la guerre de Succession d'Autriche (1740-1748), les îles sont brièvement conquises par les Anglais. Un débarquement est organisé par la Royal Navy en décembre 1746 en vue de mener par la suite le siège d'Antibes. En 1747, Bompar, à la tête d'une flottille improvisée en fait la reconquête et capture 500 Anglais.

Sous la Révolution, les îles de Lérins ont été appelées îles Marat et Lepeletier, ces deux martyrs des idées nouvelles (ils ont tous deux péri assassinés), remplaçant provisoirement une sainte et un saint du christianisme.

Le fort royal a servi de prison d’État, puis, après la Révolution, de prison militaire. L'ex-maréchal Bazaine y fut détenu durant huit mois. Il s'en est évadé de manière épique le 10 août 1874. L'évêque de Gand Maurice de Broglie a également été détenu sur l'île durant dix mois en 1812, c'est lui qui y fera planter des eucalyptus. Après la conquête de l'Algérie, plusieurs dirigeants de tribus insoumises sont envoyés sur l'île par les autorités françaises.

Les îles de Lérins abritent quatre des neuf vestiges de fours à rougir les boulets maçonnés restants en France. Situés sur les pointes du Dragon et du Vengeur sur Sainte-Marguerite et sur celles des Bonnes Gens et du ----- sur Saint-Honorat, ces équipements thermiques, construits en 1794 sur ordre du général Bonaparte, étaient destinés à chauffer des boulets à plus de 1 000 °C en dix minutes, lesquels alimentaient les batteries de canons positionnées aux alentours. Ce dispositif de défense, géré par le fort royal, permettait aux deux paires de batteries, à l'est et à l'ouest, de prendre sous un feu croisé les navires ennemis s'aventurant dans les parages. La réputation de ces fours était telle que la vue de leur fumée depuis un navire pouvait en dissuader le capitaine de s'approcher de l'île, les boulets chauffés au rouge étant capables d'occasionner un incendie à bord, chose peu désirable pour un armateur de navires.

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT – Vue de l’Ile de Saint Honorat

(Photo Yesuitus2001)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT – La partie fortifiée du monastère façade ouest

(Photo Tangopaso)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT – La partie fortifiée du monastère façade ouest

(Photo Tangopaso)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT – La partie fortifiée du monastère façade ouest

(Photo Florian PEPELIN)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT – Clocheton rajouté par Viollet-le-Duc sur la plate-forme du monastère fortifié de Saint-Honorat.

(Photo Floriel)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT – Vue du monastère depuis les fortifications.

(Photo Florian PEPELIN)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT – Entrée principale du monastère

(Photo Florian PEPELIN)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT – Entrée principale du monastère

(Photo Tangopaso)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT

(Photo ACOR Cannes)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT – Statues au-dessus de l’entrée principale du monastère

(Photo Tangopaso)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT – Église du monastère

(Photo Tangopaso)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT – Tympan du porche de l’église du monastère

(Photo Tangopaso)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT – Vue de l’église du monastère

(Photo Abxbay)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT – Vue de l’église du monastère

(Photo Abxbay)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT

(Photo Abxbay)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT

(Photo Abxbay)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT

(Photo Florian PEPELIN)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT – Le jardin de lavande du monastère

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT- Magasins du monastère

(Photo Tangopaso)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT- Vue des vignobles de l'île Saint-Honorat.

(Photo Florian PEPELIN)

 

 

 

TRESORS DU PATRIMOINE FRANCAIS : ILES DE LERINS  (ALPES MARITIMES) -  LE MONASTERE DE SAINT-HONORAT

ILES DE LERINS : MONASTERE DE SAINT-HONORAT- Vignoble du monastère.

(Photo Tangopaso)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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