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20 janvier 2017 5 20 /01 /janvier /2017 16:45
DONALD TRUMP : « NOUS N’ALLONS PAS LAISSER LES AUTRES PAYS VOLER NOS EMPLOIS » !..

 

A quelques heures de son investiture, Donald Trump a assisté jeudi 19 janvier à Washington à une partie du concert donné en son honneur au Lincoln Memorial. Le nouveau président des Etats-Unis a promis de "rassembler" les Américains en s'adressant en particulier aux "oubliés".

Un concert, un feu d'artifice, un court discours. Donald Trump a eu un avant-goût de son investiture, jeudi 19 janvier au soir à Washington. Le 45e président des Etats-Unis prête serment ce vendredi sur les marches du Capitole et va succéder ainsi à Barack Obama. Dans la capitale fédérale américaine, l'homme d'affaires républicain âgé de 70 ans a conclu par un discours jeudi soir un concert gratuit donné en son honneur, sur les marches du Lincoln Memorial.

 

L’Amérique sera grande pour tout le monde

"Nous allons faire en sorte que l'Amérique soit grande pour tout le monde, partout dans le pays", a déclaré Donald Trump devant des milliers de partisans. Le nouveau leader des Etats-Unis a ainsi promis de "rassembler" les Américains. S'adressant d'abord aux "oubliés", il a promis que sa présidence marquerait un tournant dans la vie du pays. "Nous allons ramener nos emplois. Nous n'allons plus laisser les autres pays voler nos emplois. Nous allons développer notre grande armée", a-t-il promis lors d'un discours de cinq minutes. "Nous allons renforcer nos frontières", a-t-il également lancé.

 

"On ne pariait pas cher sur nous..."

Il a plus tard repris à nouveau son célèbre slogan, d'abord sur Twitter puis lors d'un grand dîner dans l'imposante gare Union Station. "Nous allons rendre à l'Amérique sa grandeur, encore plus grande que jamais auparavant", a-t-il dit lors du dîner devant ses proches, des membres nommés à son cabinet et des donateurs. "On ne pariait pas cher sur nous. Ils disaient la même chose à propos du Brexit, et pourtant on a largement gagné", s'est-il félicité.

Avant cela, le milliardaire avait atterri vers midi à la base militaire d'Andrews en provenance de New York, à bord d'un avion de la flotte présidentielle où son épouse Melania, ses enfants et ses petits-enfants avaient également pris place. Il s'est d'abord rendu au Trump International Hotel de Washington, à quelques centaines de mètres de la Maison Blanche, avant de déposer une gerbe sur la tombe du soldat inconnu au cimetière d'Arlington, en compagnie de son vice-président Mike Pence. C'est ensuite, toujours en famille, qu'il a assisté à une partie du concert donné au Lincoln Memorial, monument de marbre en l'honneur du 16e président américain. Nombre de spectateurs portaient la casquette rouge emblématique de la campagne, avec son slogan "Make America Great Again". Au même moment, plusieurs milliers de manifestants anti-Trump sont descendus dans la rue jeudi soir à New York, bastion démocrate, pour écouter de grands noms de la culture, de Robert de Niro à Michael Moore en passant par Alec Baldwin, ainsi que le maire de la ville Bill de Blasio.

Vendredi, après une nuit à Blair House, la résidence réservée aux hôtes de marque en face de la Maison-Blanche, la cérémonie d'investiture se tiendra en plein air au Capitole en matinée (à partir de 15h30, heure française). Des centaines de milliers d'Américains, partisans enthousiastes et farouches opposants, sont attendus sur les larges pelouses du National Mall qui lui fait face. Trois de ses prédécesseurs - Jimmy Carter, George W. Bush, Bill Clinton - seront présents, ainsi qu'Hillary Clinton, son adversaire malheureuse.

Un discours "philosophique" après avoir prêté serment

Après avoir prêté serment sur la Bible, peu avant le début de son mandat à midi (18h) comme le stipule la Constitution, il prononcera un discours d'une vingtaine de minutes. "Ce ne sera pas un programme détaillé, plutôt un document philosophique", a déclaré jeudi son porte-parole Sean Spicer lors d'une conférence de presse à Washington. Le républicain entend donner rapidement des gages à ses électeurs qui attendent de lui qu'il dynamite le statu quo. Les premiers décrets qu'il signera dès vendredi - et à partir de lundi pour les plus importants - symboliseront cette rupture, "un vrai programme de changement", a insisté Sean Spicer.

On ignore leur contenu mais les promesses de campagne du candidat à ses partisans devraient figurer en bonne place : la construction du mur sur la frontière avec le Mexique, l'interdiction à ses responsables gouvernementaux de se reconvertir dans le lobbying pendant cinq ans, le début de l'abrogation de la loi sur la santé Obamacare, peut-être des décisions contre l'immigration clandestine, sur l'environnement ou le code du travail.

 

Source : LeJDD.fr  20-01-2017

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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