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27 juin 2022 1 27 /06 /juin /2022 07:00
LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022

Dimanche 26 Juin 2022 – Emmanuel Macron charge Elisabeth Borne de nouvelles consultations pour former un «gouvernement d'action» :

Emmanuel Macron a "confirmé" samedi sa confiance à Elisabeth Borne et chargé la Première ministre de conduire de nouvelles consultations des groupes parlementaires afin de former un "gouvernement d'action" pour "début juillet", a-t-il annoncé dans un entretien à l'AFP.

"Voyant à la fois les refus et les disponibilités" qui se sont exprimés lors des premiers échanges avec les forces politiques, "j'ai décidé aujourd'hui de confirmer ma confiance à Elisabeth Borne", a expliqué le chef de l'Etat alors que le sort de la cheffe du gouvernement faisait l'objet de spéculations depuis l'allocution présidentielle de mercredi.

Le président de la République, qui s'est entretenu avec la cheffe du gouvernement samedi, a annoncé qu'il l'avait chargée durant la semaine prochaine de sonder les groupes politiques à l'Assemblée nationale sur un "accord de gouvernement", leur participation même à un gouvernement, leur position sur un vote de confiance à Elisabeth Borne le 5 juillet, et aussi sur le vote du budget de l'Etat à l'automne prochain.

 

Une ligne rouge

"A mon retour du G7 et de l'Otan (qui se tient jusqu'à jeudi, ndlr), la Première ministre me soumettra des propositions pour une feuille de route pour le gouvernement de la France sur les prochains mois et les prochaines années, et également pour la composition d'un nouveau gouvernement d'action au service de la France que nous mettrons en place dans les premiers jours du mois de juillet", a-t-il ajouté.

Ce gouvernement pourra être rejoint par des représentants de forces politiques prêtes à coopérer avec la majorité. "J'ai confiance dans notre capacité collective à y arriver. J'ai confiance dans la capacité de la Première ministre à les faire émerger. J'ai confiance dans l'esprit de responsabilité des forces de gouvernement", a assuré le chef de l'Etat. Reprenant la parole entre deux étapes de son marathon diplomatique qui le mène dimanche en Allemagne pour le G7 puis mardi à Madrid pour le sommet de l'Otan, Emmanuel Macron précise que "la base de ces discussions" avec la Première ministre sera le "cadre du projet présidentiel et de celui de la majorité présidentielle qui pourra être amendé ou enrichi".

Et ce, avec pour ligne rouge de n'augmenter "ni les impôts ni la dette". Malgré son revers aux élections législatives, Emmanuel Macron n'a pas renoncé à sa réforme des retraites visant à "travailler plus longtemps comme le font tous nos voisins, en tenant compte des conditions de travail et donc des règles de pénibilité, en prenant en compte les carrières longues".

C'est, avec la réforme vers le plein emploi, "les deux grandes réformes que nous devons conduire dans la concertation, sans totem ni tabou, mais en gardant un cap d'ambition".

Le chef de l'Etat, à la recherche de renforts après avoir perdu dimanche dernier la majorité absolue à l'Assemblée, a toutefois écarté la possibilité d'un accord avec le RN et LFI. Les alliés possibles, "ce sera des communistes aux LR. Les Français ont accordé une légitimité aux députés RN et LFI et ces partis ont une formation politique. Je ne confonds pas les extrêmes mais par leur expression, leur positionnement - j'ai toujours été clair sur ce sujet -, ces formations ne s'inscrivent pas comme des partis de gouvernement".

 

 

 

 

 

LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022

Dimanche 26 Juin 2022 – Pour Adrien Quatennens (LFI), il n’y a «pas d'arrangement possible» avec le gouvernement :

A France Inter, Franceinfo et Le Monde, le député du Nord a répondu que participer à un gouvernement de coalition "n'aurait aucun sens" et serait "illisible".

A France Inter, Franceinfo et Le Monde, le député du Nord a répondu que participer à un gouvernement de coalition "n'aurait aucun sens" et serait "illisible", car "on n'a pas entendu (Emmanuel Macron) bouger ni reculer d'un iota sur la réforme des retraites, ni sur la volonté d'imposer 15 à 20 heures de travail en contrepartie du RSA" notamment.

Rejoindre le gouvernement "n'aurait aucun sens et participerait des combines que nous ne voulons pas", a-t-il insisté: "nous lui avons dit, il n'y a pas d'arrangement possible". "Nous avons un mandat et il est clair, celui d'être dans l'opposition", a ajouté Adrien Quatennens.

 

Le chef de l’État a évoqué des discussions "des communistes aux LR", écartant d'emblée le RN et LFI qui pour lui ne sont pas des "partis de gouvernement".

Mais l'élu insoumis estime qu'il n'y a "pas de risque" d'un éclatement de la Nouvelle union populaire économique et sociale (Nupes). "Je ne crois pas, je ne vois pas comment un seul communiste" pourrait être tenté, a-t-il notamment souligné, remarquant que le numéro un du PCF Fabien Roussel, qui avait eu l'air un temps séduit, "a rétropédalé". "Je crois que la première personne qui au sein de la Nupes mettrait un seul doigt dans la proposition d'Emmanuel Macron, cela serait une purge absolue", a-t-il insisté.

"Nous avons installé un intergroupe parlementaire, nous voulons fonctionner ensemble, nous allons fonctionner comme un groupe", a-t-il assuré, rappelant que la Nupes allait déposer "la semaine prochaine une grande loi d’urgence sociale dans laquelle il y aura l’augmentation du Smic, le dégel du point d’indice, la revalorisation des fonctionnaires de 10%, et aucune pension sous le Smic pour une carrière complète".

 

 

 

 

 

LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022
LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022
LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022
LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022
LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022
LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022
LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022

Dimanche 26 Juin 2022 – Les dirigeants du G7, réunis en Bavière, au chevet d'un monde en crise :

Les dirigeants des pays du G7 se réunissent dans les montagnes du sud de l'Allemagne à partir de dimanche, au chevet d'un monde en crise, de la guerre en Ukraine à la sécurité alimentaire en passant par le climat.

Les leaders des grandes puissances, dont le président américain Joe Biden, ont rendez-vous à partir de 10H00 GMT dans les Alpes bavaroises, pour le sommet annuel du club des sept pays industrialisés (G7) comprenant Allemagne, Canada, France, Italie, Japon, Royaume-Uni et Etats-Unis.

Des milliers de policiers sont mobilisés pour sécuriser la rencontre, prévue jusqu'à mardi dans un complexe de luxe au pied des cimes. Samedi, à une centaine de kilomètres de là, des milliers de manifestants ont défilé, sans incident notable, dans les rues de Munich pour exiger une action plus ferme en faveur du climat.

Le cadre enchanteur du château d'Elmau, non loin de la frontière autrichienne, promet de belles images des sept dirigeants mais ne fera pas oublier les multiples crises actuelles.

 

Ne pas "oublier" l'Ukraine

La poursuite du soutien à l'Ukraine, où l'offensive russe entre dans son cinquième mois, sera au coeur de cette réunion puis du sommet de l'Otan, qui se tiendra sur deux jours, à Madrid, à partir du 28 juin.

Le chancelier Olaf Scholz, hôte du G7, l'a rappelé cette semaine: le soutien à l'Ukraine va demander "de la persévérance" car "nous sommes encore loin" de négociations de paix entre Kiev et Moscou. La guerre en Ukraine pourrait en effet durer "des années", a mis en garde le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui interviendra lundi en visioconférence, devrait de nouveau demander l’envoi d'armes lourdes, après que les Russes viennent de prendre le contrôle de Severodonetsk (est).

Joe Biden veut démontrer à ses alliés que tenir tête à la Russie et faire face à la Chine sont des objectifs complémentaires, et non opposés, selon John Kirby, coordinateur de la communication de la Maison Blanche sur les questions stratégiques.

Le sommet du G7 devrait déboucher sur "un ensemble de propositions concrètes pour augmenter la pression sur la Russie et montrer notre soutien collectif à l'Ukraine", a ainsi assuré un haut responsable de la Maison Blanche.

Il n'a pas détaillé ces mesures éventuelles alors que plusieurs volets de sanctions ont déjà été décidés par les Occidentaux contre le régime de Vladimir Poutine.

Le Premier ministre britannique Boris Johnson a exhorté, à la veille du sommet, les dirigeants du G7 à ne pas "abandonner l'Ukraine", mettant en garde contre toute "fatigue" dans le soutien à Kiev et annonçant une aide économique supplémentaire. La Maison Blanche balaie toutefois toute lassitude occidentale: "Nous n'avons pas vu de fractures et de fissures" au sein de l'Otan, a affirmé John Kirby.

 

Dirigeants fragilisés

Les baisses drastiques de livraison de gaz par Moscou, destinées selon les Occidentaux à déclencher une crise énergétique en Europe avant un hiver qui s'annonce tendu, devraient être au menu des discussions dès dimanche.

Les dirigeants débuteront en effet leurs entretiens par une session sur l'économie mondiale, en proie à l'inflation galopante, liée notamment à la hausse des coûts de l'énergie et des denrées alimentaires.

La participation au G7 de l'Indonésie, l'Inde, le Sénégal, l'Afrique du Sud et l'Argentine, économies émergentes particulièrement exposées au risque de pénuries alimentaires et à la crise climatique, vise à forger des réponses communes à ces défis.

Les acteurs du climat attendent aussi du G7 des avancées concrètes, dont la "planification" de l'élimination complète des énergies fossiles.

Des discussions bilatérales complèteront les sessions, à commencer dimanche matin par une rencontre entre l'Allemand Olaf Scholz et Joe Biden, deux leaders en position difficile dans leur propre pays.

Le chancelier allemand, voit ainsi sa popularité chuter ces derniers mois, faute d'afficher un soutien ferme à Kiev. Il mise sur ce G7 pour redorer son blason en Allemagne comme à l'étranger.

Le président américain fait lui face à une Amérique encore plus fracturée après la remise en cause du droit à l'avortement par la Cour suprême, dans un pays frappé de plein fouet par une forte inflation.

Emmanuel Macron, leur homologue français a lui échoué il y a une semaine à obtenir une majorité absolue et va devoir composer avec d'autres partis, une obligation inédite pour lui. Quant à M. Johnson, fragilisé par le "Partygate", il a vu cette semaine son parti perdre deux élections locales et paraît en sursis.

 

 

 

 

 

LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022

Dimanche 26 Juin 2022 – LREM et Nupes réclament une loi pour inscrire le droit à l’IVG dans la Constitution :

La Nupes et LREM veulent déposer un texte de loi pour protéger le droit à l'avortement en l’inscrivant dans la Constitution.

La cheffe de file des députés LREM Aurore Bergé a annoncé samedi le dépôt d'une proposition de loi pour inscrire "le respect de l'IVG dans notre Constitution", après la décision historique de la Cour suprême des Etats-Unis de révoquer ce droit . Au-delà des Etats-Unis, cette décision est "catastrophique pour les femmes dans le monde: vous avez une femme qui meurt toutes les 9 minutes parce qu'un avortement a été mal pratiqué, de manière non sécurisée", a souligné sur France Inter la nouvelle présidente du groupe majoritaire à l'Assemblée. "Cela appelle aussi à ce que nous prenions en France des dispositions pour qu'on ne puisse pas avoir demain des revirements qui pourraient exister. C'est la raison pour laquelle, dès aujourd'hui, avec mon groupe nous allons déposer une proposition de loi constitutionnelle pour inscrire le respect de l'IVG dans notre Constitution", a ajouté l'élue des Yvelines, une ex-LR à l'engagement féministe

Dans un communiqué publié ce samedi, la Nupes a rappelé qu’elle avait déjà proposé une loi en 2019 pour inscrire le droit à l’IVG dans la Constitution. «Nous proposons le dépôt d’un texte commun à l’ensemble des groupes de l’Assemblée nationale qui le souhaitent pour protéger ce droit fondamental en l’inscrivant dans la Constitution dans les plus brefs délais», peut-on lire.

 

"On ne change pas la Constitution comme on change la loi"

Aurore Bergé avait vivement défendu l'allongement en France du délai légal de l'IVG , voté à la fin de la précédente législature. Craint-elle une remise en cause en France? "Malheureusement, rien n'est impossible et les droits des femmes sont toujours des droits qui sont fragiles et qui sont régulièrement remis en cause", a répondu Aurore Bergé. Pointant les nouveaux députés RN, "des opposants farouches à l'accès des femmes à l'IVG", elle a jugé qu'il ne fallait "prendre aucun risque en la matière et donc sécuriser (le droit à l'IVG) en l'inscrivant dans le marbre de notre Constitution".

Le FN (devenu RN) a été pendant longtemps radicalement anti-avortement. En 2011, Marine Le Pen avait redit son souhait de dérembourser l'IVG, puis prôné le statu quo sur le sujet, en se présentant comme la première défenseure des droits des femmes.

La patronne des députés LREM a insisté: "On ne change pas la Constitution comme on change la loi" donc "c'est une garantie qu'on doit donner aux femmes". Elle estime que la mesure sera "largement partagée sur les bancs de l'Assemblée nationale et du Sénat". Sa proposition de loi, transmise à l'AFP, stipule que "nul ne peut être privé du droit à l’interruption volontaire de grossesse". Vendredi soir, la cheffe des députés Insoumis Mathilde Panot avait annoncé aussi qu'elle proposerait dès lundi à l'alliance de gauche Nupes "de déposer une proposition de loi pour inscrire le droit à l'avortement dans la Constitution" française.

La très conservatrice Cour suprême des États-Unis a enterré vendredi un arrêt qui, depuis près d'un demi-siècle, garantissait le droit des Américaines à avorter mais n'avait jamais été accepté par la droite religieuse. Dans la foulée de la décision, plusieurs États américains ont déjà annoncé prendre des mesures pour interdire les interruptions volontaires de grossesse sur leur territoire. En France, la décision a fait réagir de nombreux responsables politiques, de la gauche à la droite. Emmanuel Macron a regretté la "remise en cause" des libertés des femmes, soulignant que "l'avortement est un droit fondamental pour toutes les femmes".

 

 

 

 

 

LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022
LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022
LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022
LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022
LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022
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LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022

Dimanche 26 Juin 2022 – En images, Paris prend des couleurs arc-en-ciel avec la marche des Fiertés LGBT+ :

Des licornes, des paillettes, du strass et du gros son: malgré un ciel parisien bien gris, la marche des Fiertés LGBT+ a retrouvé des couleurs samedi, après deux années ternies par le Covid-19. Peu après 14h30, une foule compacte s'est élancée depuis la porte Dorée en direction de la place de la République, sous une pluie fine et dans une ambiance festive comme c'est le cas généralement depuis les années 1970.

Des parapluies et des capes arc-en-ciel émaillaient le cortège, entre les différents chars des associations ou communautés LGBT d'entreprises comme Air France ou la SNCF.

Les autorités, qui anticipaient une mobilisation de 25 à 35.000 personnes dans la capitale, ont décidé de renforcer la sécurité au lendemain de la fusillade mortelle à Oslo près d'un club gay.

Mais l'inquiétude n'était pas de mise parmi les participants. Plusieurs d'entre eux arboraient des pancartes "free hug" (calin gratuit), appelaient à "imaginer la vie gayment" ou encore proclamaient: "on est pas des monstres". Aux abords du cortège, des vendeurs de chapeaux, drapeaux, sifflets et autres goodies aux couleurs arc-en-ciel ravitaillaient les troupes.

Le mot d'ordre choisi cette année par le collectif associatif Inter-LGBT, qui organise cette marche, est: "Nos corps, nos droits, vos gueules !". Une formule virulente assumée qui vise notamment à protester contre la "banalisation" de la "parole LGBTQIphobe et surtout transphobe", trop souvent ignorée des pouvoirs publics, selon eux.

La marche est aussi en solidarité avec l'Ukraine. En guise de symbole, c'est Anna, militante lesbienne venue de ce pays en guerre, qui a été la première à prendre la parole dans le carré de tête. "Il y a deux situations qui ont vraiment changé ma vie: un très mauvais coming-out il y a douze ans et puis la guerre", a-t-elle témoigné en français, se réjouissant d'être devant "des personnes libres et courageuses" et appelant au soutien.

 

"On existe"

Mais dans la foule, l'ambiance était joyeuse. Venue de l'Aube avec son épouse, Sandrine Martineau, 51 ans, coiffe à plumes, s'est dite "fière" et "époustouflée" par l'affluence.

Beaucoup de jeunes étaient présents, à l'image de Sandra Vail, 19 ans, "fière de représenter la communauté LGBT" et de "montrer que l'amour n'a pas de sexe".

Non loin de là, Eloise, 15 ans, venue d'Etampes avec des copines pour sa première marche, entendait "dire qu'on est là, qu'on existe" et se réjouissait de passer un moment avec d'autres LGBT parce qu'"au collège, il n'y a pas grand monde...".

Paillettes de strass collées sur le front, Jennifer Than, 22 ans, pour qui c'était aussi une première, insistait sur le fait qu'"il faut accepter tout le monde et c'est tout !".

Dans l'après-midi, les organisateurs avaient prévu trois minutes de silence en hommage aux victimes du sida. Un concert était aussi au menu en fin de journée avec une centaine d'artistes dont Bilal Hassani, ex-candidat de la France à l'Eurovision.

Outre cette manifestation habituelle, des marches alternatives sont apparues ces dernières années, affichant d'autre slogans et revendications, souvent plus contestataires.

 

 

 

 

 

LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022

Dimanche 26 Juin 2022 – Des policiers visés par une rafale d'arme automatique à Rennes :

Le parquet de Rennes a annoncé samedi avoir ouvert une enquête pour tentative de meurtre après que des policiers ont été visés par une rafale de tirs à l'arme automatique, vendredi à Rennes. Les faits se sont produits vers 17 heures dans le quartier Maurepas. Les policiers patrouillaient près d'un point de revente de stupéfiants quand «une rafale automatique était tirée dans leur direction», indique le procureur de la République de Rennes Philippe Astruc à l'AFP.

Un scooter venait de faire route à vitesse élevée vers le point de revente «possiblement à la poursuite de deux guetteurs» et «le passager muni d'un pistolet automatique mettait en joue les guetteurs et au coup par coup tirait en leur direction» avant d'interrompre sa progression en apercevant les forces de l'ordre. «Le passager casqué dirigeait alors l'arme vers les policiers en effectuant une rotation» et tirait «une rafale automatique dans leur direction», selon le procureur.

 

Une " vive émotion des habitants du quartier"

«Les policiers se jetaient au sol et sortaient leurs armes sans en faire usage. Le scooter quittait rapidement la place pour gagner l'avenue la plus proche et prenait la fuite», ajoute le magistrat. Si aucun blessé n'est à déplorer, le procureur indique qu'une enquête criminelle est ouverte par le parquet et confiée à la DTPJ (direction territoriale de la police judiciaire) «sous la qualification de tentative de meurtre et tentative de meurtre sur personnes dépositaires de l’autorité publique». Selon M. Astruc, cette dernière qualification fait encourir la réclusion criminelle à perpétuité.

Sur place «onze douilles calibre 9 mm» ont été retrouvées au sol et «deux autres douilles» ont été découvertes sur les rues adjacentes. Des traces de tirs ont aussi été relevées sur deux véhicules stationnés. Saluant «le sang-froid des policiers victimes», le procureur «partage la vive émotion des habitants du quartier».

Evoquant des «faits d’une particulière gravité» qui «s’inscrivent dans une série de faits» et une «très forte tension», le magistrat annonce la mise sur pied d'une cellule de 12 enquêteurs de la DTPJ spécialement dédiée à la situation du quartier. Selon le procureur, l’enquête devra notamment déterminer «si ces derniers faits sont ou non en lien avec un homicide volontaire» commis à Maurepas le 13 juin pour lequel un homme est en détention.

 

 

 

 

 

LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022

Dimanche 26 Juin 2022 – Le G7 s'amuse... sur le dos de Poutine :

Les grands dirigeants mondiaux se sont amusés dimanche à ironiser sur l'image virile volontiers affichée par le président russe Vladimir Poutine en se demandant s'ils pouvaient ôter leur veste --voire davantage-- à l'ouverture du sommet du G7 en Allemagne.

"On garde les vestes? On les enlève?", interroge le Premier ministre britannique Boris Johnson en s'asseyant à la table de travail au château d'Elmau en Allemagne où le chancelier Olaf Scholz accueille jusqu'à mardi les dirigeants des Etats-Unis, du Canada, de Grande-Bretagne, d'Allemagne, de France, d'Italie, du Japon et de l'Union européenne.

Le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, suggère alors d'attendre la photo officielle pour tomber la veste mais Boris Johnson lance: "nous devons montrer que nous sommes plus forts que Poutine". Et la boutade en inspire d'autres. "Nous allons avoir droit à la démonstration d'équitation torse nu", renchérit M. Trudeau, se référant à une fameuse scéance photo de Vladimir Poutine à cheval torse nu en 2009.

"L'équitation, c'est ce qu'il y a de mieux", réplique sobrement Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne --seule femme de cette réunion-- sans apparemment se prononcer sur la question de l'habillement elle-même. "Nous devons leur montrer nos pectoraux", insiste Boris Johnson.

C'est finalement en costume, ayant simplement tombé les cravates, que les sept dirigeants ont pris place sur le podium pour la traditionnelle photo de famille.

 

 

 

 

 

LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022
LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022
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Dimanche 26 Juin 2022 – En images, nouvelle frappe russe sur Kiev, des immeubles résidentiels ravagés :

Une nouvelle frappe russe tôt dimanche matin a touché un complexe résidentiel proche du centre de Kiev, qui avait été épargnée par des bombardements russes depuis début juin, ont constaté des journalistes de l'AFP. Au moins deux blessés ont été hospitalisés, a indiqué sur la messagerie Telegram le maire de la capitale, Vitaly Klitschko, précisant que des gens restaient "sous les décombres", le bilan pouvant s'alourdir.

Il s'agit "d'intimider les Ukrainiens (...) à l'approche du sommet de l'Otan", organisation honnie par la Russie, a déclaré à des journalistes M. Klitschko qui s'est rendu sur le site touché quelques jours avant le sommet de l'Alliance atlantique, du 28 au 30 juin à Madrid.

Quatre explosions ont été entendues vers 06H30 (03H30 GMT), une demi-heure après le déclenchement de sirènes anti-aériennes dans la capitale.

"A la suite d'un bombardement ennemi, un incendie s'est déclaré dans un immeuble de neuf étages", a indiqué sur Telegram le service d'Etat pour les situations d'urgence.

"Un missile a été abattu par la défense anti-aérienne dans la région de Kiev, les débris sont tombés sur un village", a indiqué le gouverneur de la région de Kiev, Oleksiï Kouleba sur Telegram. "Nos militaires font tout pour prévenir les attaques contre notre ville. Mais nous ne pouvons malheureusement pas garantir la sécurité à 100% à Kiev ni ailleurs en Ukraine tant que cette agression se poursuit", a de son côté fait valoir M. Klitschko.

Un député ukrainien, Oleksiï Gontcharenko, a affirmé sur Telegram que les Russes avaient tiré 14 missiles sur Kiev et sa région dans la matinée.

 

 

 

 

 

LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022

Dimanche 26 Juin 2022 – Covid : Shanghai enregistre zéro nouveau cas pour la première fois depuis mars :

Shanghai n'a annoncé samedi aucun nouveau cas de Covid-19, une première depuis début mars et l'apparition de l'épidémie dans la ville, donnant lieu à plusieurs mois de confinements et de restrictions.

"Il n'y a pas eu de cas confirmé de Covid-19 transmis localement et pas de nouvelle infection asymptomatique locale à Shanghai le 24 juin 2022", a annoncé la ville dans un communiqué.

La Chine est la dernière grande économie à s'en tenir encore à une stratégie de "zéro Covid" visant à éliminer toute propagation par des dépistages massifs, des confinements ciblés et de longues quarantaines.

La capitale économique chinoise a été fermée pendant plusieurs mois, après une recrudescence d'infections alimentée par le variant Omicron, hautement contagieux.

Malgré la levée théorique du confinement début juin, les 25 millions d'habitants de Shanghai ont dû attendre pour un retour à la vie normale à cause de nouvelles restrictions par quartiers à chaque apparition de nouveaux cas.

Des millions d'habitants ont de nouveau été confinés il y a deux semaines après une campagne de dépistage de masse ordonnée par le gouvernement.

 

Retour à l'école

A Pékin, les restrictions d'abord imposées en mai ont été assouplies avec la baisse des infections, mais de nouveau renforcées après l'apparition d'un foyer dans un bar.

Après plusieurs journées de tests en masse et de confinements ciblés, la chaîne de contamination "Heaven Supermarket", du nom du bar, a été maîtrisée, ont assuré les autorités pékinoise la semaine dernière.

Le bureau des affaires scolaires de la ville a alors annoncé samedi que les élèves de primaire et de collège pourraient retourner en classe lundi.

Le personnel scolaire, les élèves et leurs parents doivent cependant présenter un test PCR négatif avant de revenir et sont appelés à "limiter les sorties et éviter les rassemblements", a précisé l'administration sur les réseaux sociaux.

 

Pékin a enregistré deux nouveaux cas locaux samedi.

De son côté, Shenzhen, grand centre industriel du sud, a annoncé samedi la fermeture pour trois jours des marchés de gros, cinémas et salles de sport dans un district central limitrophe de Hong Kong, après la découverte de cas dans cette ville.

La Chine assure que sa politique "zéro Covid" est nécessaire pour éviter une catastrophe sanitaire, les autorités s'inquiétant particulièrement de la répartition inégale des ressources médicales et du faible taux de vaccination parmi la population âgée.

Mais cette stratégie a mis à mal la deuxième économie du monde et l'application stricte de la loi a également déclenché des manifestations, ainsi qu'encouragé les départs d'entreprises étrangères et de familles de classe moyenne.

 

 

 

 

 

LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022

Dimanche 26 Juin 2022 – Incroyable découverte d’un bébé mammouth entier dans le Yukon :

C’est une découverte à la fois extraordinaire et historique qu’a fait par hasard un chercheur d’or en juin dernier dans le Yukon. Le 21 juin 2021, pile lors de la Journée nationale des Autochtones au Canada, un mineur travaillant près de la rivière Eureka Creek, au sud de Dawson City, a trouvé le corps d’un bébé mammouth en creusant dans le pergélisol. Le jeune canadien, appartenant à la communauté autochtone des Trʼondëk Hwëchʼin, était en train de creuser quand il a touché la créature avec sa pelle. C’est le paléontologue Grant Zazula qui a attesté la découverte, appelé d’urgence par la compagnie Treadstone Mining qui employait le jeune homme.

Ce n’est qu’un an plus tard que le gouvernement du Yukon a révélé la découverte dans un communiqué de presse publié vendredi . «En tant que paléontologue de l'ère glaciaire, cela a été l'un de mes rêves de toute ma vie de me retrouver face à face avec un vrai mammouth laineux (Mammuthus primigenius). Ce rêve est devenu réalité aujourd'hui», a réagi M. Zazula. Selon lui, le mammouth d’1m40 de long, surnommé «Nun cho ga» par les autochtones, serait mort entre 35.000 et 40.000 ans. Une analyse plus approfondie a révélé que la femelle vivait aux côtés de chevaux sauvages, de lions des cavernes et de bisons géants des steppes qui parcouraient autrefois le Yukon il y a des milliers d'années. Ces géants laineux ont vécu pendant le Pléistocène jusqu'à leur extinction à l'époque de l'Holocène.

 

«C'est une sorte de miracle préservé dans le présent»

Le caractère exceptionnel de la découverte réside dans le fait que le jeune mammouth est entier, jusqu’à sa trompe, sa petite queue, sa peau et ses poils. Les scientifiques ont observé que de l’herbe se trouvait sur son intestin. «Cela nous indique qu’il broutait lors des derniers instants de sa vie», a déclaré le scientifique à CBC . Il a dit que le mammouth était probablement à quelques pas de sa mère, mais que celui-ci s’est aventuré un peu loin, appâté par de l’herbe. La bête s'est alors retrouvée coincée dans la boue, ce qui a entraîné sa mort. Nun cho ga est le deuxième mammouth laineux entier jamais trouvé dans le monde et le premier en Amérique du Nord. En 2007, un autre jeune mammouth laineux en superbe état de conservation avait été mis au jour en Sibérie.

L’annonce de la découverte a surpris la communauté scientifique. Le paléontologue de l'Université de l'Alberta, Michael Caldwell, qui n'était pas présent lors des fouilles, s'est dit fasciné par la façon dont le temps peut retenir des histoires aussi poignantes. «C'est une sorte de miracle préservé dans le présent, une mine d'or scientifique et tout simplement une belle chose. Pour tous les paléontologues, c'est incroyable, mais pour ceux qui travaillent sur de telles choses, c'est à couper le souffle», a-t-il déclaré. Un an après, M. Zazula reste lui aussi bouleversé par la trouvaille. «Il va falloir des jours, des semaines et des mois pour comprendre et il va falloir des jours, des semaines et des mois de travail avec les Tr'ondëk Hwëch'in pour décider de ce que nous ferons», a-t-il dit.

 

 

 

 

 

LA MARCHE DU MONDE (2164) : DIMANCHE 26 JUIN 2022

Dimanche 26 Juin 2022 – LR : la jeune garde montre les muscles :

Alors que les LR ont élu Olivier Marleix à quarante voix contre vingt face à Julien Dive, que le parti semble tourner la page du Sarkozysme, en interne, la jeune garde veut porter sa voix haut et fort. Réélue pour un second mandat de député - avec parfois de très beaux scores -, plus expérimentée, plus ambitieuse, cette nouvelle génération promet des étincelles. Tout en prônant le collectif.

Aurélien Pradié est une grande gueule. Il le sait, il le dit, certains collègues le lui ont fait remarquer par le passé. Mais depuis sa réélection, quelque chose a changé ; comme une accalmie intérieure, un peu de légèreté qui passe, comme ça, en coup de vent, dans l’atmosphère. Réélu avec 64,63% des voix dans la 1ère circo du Lot – terre de gauche -, il a assis sa légitimité dans le parti, mettant bisbilles et autres fâcheries de côté : « En 72 heures, j’ai eu des discussions avec certains que je n’avais jamais eu en cinq ans. Il y a un respect mutuel, une écoute et ce serait du gâchis de ne pas rester sur cette trajectoire. »

Représentant de la droite sociale, il incarne cette nouvelle garde LR qui souhaite redynamiser le parti, apporter du sang neuf à un corps abîmé par la présidentielle. Mais pour lui, pas question de faire dans le jeunisme, ni de créer une fracture avec ses aînés : « Ceux qui parlent le plus de guerre de générations ne sont pas les jeunes. Et puis nous ne sommes pas tout à fait les mêmes jeunes qu’en 2017. On a une expérience de cinq ans, on a pris de l’épaisseur et on a tous été réélus dans des territoires difficiles avec des beaux scores. » Il poursuit : « Nous ne voulons pas créer un club de jeunes bien que ce soit une période politique où l’on voit un renouvellement de génération. Mais ce n’est pas l’âge qui fait la génération. »

Aurélien Pradié veut mettre en avant de nouveaux sujets, parler aux classes moyennes, protéger les Français : « Nous sommes à un moment charnière pour reconstruire le parti pour les années qui viennent. Cela passe par les sujets que l’on aborde. Qu’a-t-on à dire sur l’écologie, les violences, l’ascenseur social qui ne fonctionne plus ? Il ne faut pas s’amputer des questions régaliennes, c’est certain, mais les projecteurs doivent être braqués sur les questions sociales. »

La donne politique actuelle semble avoir eu raison des guerres intestines – pour le moment -, entre les LR : « Il y a une prise de conscience collective car les aînés se disent que nous ne sommes plus des petits jeunes. Si les jeunes enlèvent leur susceptibilité – et vice-versa -, on va faire un bond de dingue. Nous voulons proposer un nouveau visage, une nouvelle attitude. Le parti est plus déterminé qu’hier. »

Comme le reste de la jeune garde, le député du Lot « s’est fait tout seul » et ajoute : « Nous ne sommes pas dociles, « ça vient avec », comme dirait Christian Jacob. Mes aînés m’écoutent plus car j’explique davantage. » Pour lui, le renouveau de la droite passe nécessairement par cette jeune garde et ce qu’elle apporte à la table : « Quatennens et Bardella ont eu leur parti sans être élu ; la droite est-elle capable de transmettre ? Car c’est précisément une valeur de droite. Je vois les choses bouger depuis quelques temps et cette situation politique – inédite -, a été une prise de conscience collective. »

 

Julien Dive : « C’est à la génération en place de nous écouter »

Réélu député de la 2ème circonscription de l’Aisne avec 58,23% des voix, candidat malheureux à la présidence du groupe à l’Assemblée (vingt voix sur soixante en 24 heures tout de même), le Nordiste fait consensus au sein du parti. Comme le dit son collègue Raphaël Schellenberger au sujet de sa candidature, « c’était le plus rassembleur ; un très bon camarade. »

Mais gare à l’eau qui dort. Car Julien Dive, lunettes pliées sur la chemise, vanneur, sait où il va : « On est à l’écoute du terrain. On nous dit « modernisez-vous » sur les personnes, les émetteurs, les idées. Les gens veulent voir une droite avec de nouvelles personnalités. Mélenchon et Le Pen passent le relai, et nous, on fait quoi ? Quand on nous ne donne pas le pouvoir, il faut le prendre, bien qu’il faille travailler ensemble. C’est à la génération en place de nous écouter. »

Résolument contre les petits calculs politiques, il veut que les LR « arrête[nt] de raisonner en parts de marché, c’est une vision court-termiste, réductrice et cela nous affaiblit. Il faut écouter la nouvelle génération car elle touche les jeunes avec des sujets comme l’écologie. » A l’instar de ses potes, il veut faire de l’environnement un sujet clé : « Sur l’écologie par exemple, l’auditoire se radicalise, on le voit avec la NUPES. Si nous sommes dans une écologie positive, de bon sens, on peut embarquer les gens et toucher plus de monde. Nos aînés doivent peut-être changer de stratégie. Nous mettons en avant le fait de parler aux classes populaires, aux classes moyennes et dans nos territoires, nous avons planté des graines. »

Opposé à une coalition avec Emmanuel Macron, il le tance avec gourmandise : « Tout ce qui est parti en Macronie a échoué. Nous avons deux lignes limites : le RN et Ensemble. La gauche est aujourd’hui puissante dans l’hémicycle, et la droite doit l’être également. Nous pouvons être des faiseurs de rois sur les textes en étant force de proposition. » Quant aux différentes sensibilités au sein des LR, il prône le rapprochement : « Les deux lignes au sein des LR doivent travailler ensemble, il ne faut pas qu’une ligne bouffe l’autre. Cela a toujours été comme ça. Il faut jouer collectif, se battre ensemble et se soutenir, pas faire des coups bas aux uns et aux autres. »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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