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26 février 2022 6 26 /02 /février /2022 08:00
LA MARCHE DU MONDE (2055) : VENDREDI 25 FEVRIER 2022

Vendredi 25 février 2022 - 137 morts côté ukrainien,... le point sur le conflit ukrainien

-La Russie prête à des négociations si l'Ukraine «dépose les armes»-

La Russie est prête à des négociations avec l'Ukraine si ce pays en proie à une invasion russe «dépose les armes», a déclaré vendredi le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov. «Nous sommes prêts à des négociations, à n'importe quel moment, dès que les forces armées ukrainiennes entendront notre appel et déposeront les armes», a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse à Moscou. Le ministre russe des Affaires étrangères a aussi assuré que l'objectif de l'invasion russe de l'Ukraine était de «libérer» les Ukrainiens «de l'oppression», laissant entendre que Moscou comptait renverser le pouvoir en place.

-Au moins 137 morts côté ukrainien selon Kiev-

Le président ukrainien a annoncé vendredi la mort d'au moins 137 de ses concitoyens depuis le début de l'invasion russe. «137 héros, nos citoyens» ont perdu la vie, a-t-il indiqué, ajoutant que 316 autres personnes côté ukrainien avaient été blessées lors des combats. L'armée ukrainienne a quant à elle affirmé avoir abattu cinq avions et un hélicoptère de l'armée russe et avoir tué une cinquantaine «d'occupants russes» dans l'est du pays.

-Plus de 1800 manifestants anti-guerre arrêtés en Russie-

Plus de 1800 manifestants contre la guerre en Ukraine ont été arrêtés en Russie, a déploré le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme, qui a demandé la libération de ceux qui sont encore détenus. «Nous sommes troublés par les multiples arrestations arbitraires de manifestants en Russie qui protestaient hier», a déclaré une porte-parole du Haut-Commissariat, Ravina Shamdasani, lors d'un point de presse à Genève. «Nous comprenons que plus de 1800 manifestants auraient été arrêtés. Il n'est pas clair si certains ont maintenant été libérés», a-t-elle ajouté. La porte-parole a souligné qu'«arrêter des personnes qui exercent leurs droits à la liberté d'expression ou de réunion pacifique constitue une privation arbitraire de liberté».

 

 

 

 

 

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Vendredi 25 février 2022 - Jean-Yves Le Drian inquiet pour la sécurité de Volodymyr Zelensky :

Le ministre des Affaires étrangères estime que Vladimir Poutine veut sortir l’Ukraine «de la carte des Etats», ce qui met en danger la vie de l’actuel président ukrainien Volodymyr Zelensky , dont la sécurité «est menacée». Lors d’un discours prononcé jeudi soir, ce dernier a d’ailleurs lui-même affirmé être «la cible numéro 1 de l’ennemi», sa famille étant «la cible numéro 2». S’il a fait déplacer ses proches, il a choisi de rester à Kiev, a-t-il commenté. Jean-Yves Le Drian a expliqué vendredi que «la guerre est totale» et que «la sécurité du président Zelensky est un élément central de ce qu'il se passe». «Nous sommes en mesure de l’aider si nécessaire», a-t-il ajouté.

 

 

 

 

 

LA MARCHE DU MONDE (2055) : VENDREDI 25 FEVRIER 2022

Vendredi 25 février 2022 - Poutine «se comporte comme les nazis», dénonce Josep Borrell, porte-parole de l'UE :

Josep Borrell, porte-parole diplomatique de l'Union européenne a accusé Vladimir Poutine de se comporter "comme les nazis".

Le président russe Vladimir Poutine, qui a affirmé mener une offensive militaire contre l'Ukraine pour "dénazifier" ce pays, "se comporte comme les nazis", a accusé vendredi Peter Stano, porte-parole du chef de la diplomatie de l'UE Josep Borrell.

Vladimir Poutine dit qu'il "veut prévenir un génocide (contre les russophones de l'est de l'Ukraine, ndlr), ce qui est un non-sens total, car il est sur le point d'en commettre un" contre les Ukrainiens, a ajouté ce porte-parole qui s'exprimait à Bruxelles lors du point presse quotidien de l'exécutif européen. "Fondamentalement, il veut détruire l'Ukraine. Il veut infliger des dommages et des souffrances au peuple ukrainien. C'est totalement inhumain", a-t-il dénoncé.

Vladimir Poutine a accusé lundi l'Ukraine de se doter d'un régime "néonazi", soutenu par l'Occident, pour exterminer les russophones du Donbass, lorsqu'il a annoncé la reconnaissance des deux territoires séparatistes de l'est du pays. Le porte-parole a rappelé que l'UE a averti le Kremlin qu'il devrait "rendre des comptes" pour son attaque massive contre l'Ukraine et souligné qu'il "ne peut pas y avoir d'impunité". "L'histoire récente a montré que toute personne qui a participé à des crimes de guerre finit par être traduite en justice", a-t-il lancé.

 

 

 

 

 

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Vendredi 25 février 2022 - Barack Obama dénonce «l'attaque éhontée» de l'Ukraine par la Russie :

L'ancien président américain Barack Obama a réagi à l'invasion russe en Ukraine, dénonçant une «attaque éhontée».

«Une menace pour la fondation de l'ordre et de la sécurité internationaux». Jeudi, l'ancien président américain Barack Obama s'est exprimé pour condamner l'invasion russe de l'Ukraine, qu'il a qualifiée d'«attaque éhontée» : «La Russie n'a pas agi ainsi car l'Ukraine posait une menace pour la Russie, mais car le peuple ukrainien a emprunté le chemin de la souveraineté, de l'autodétermination et de la démocratie. Pour avoir des droits qui devraient être disponibles pour tous les peuples et nations, les Ukrainiens subissent une attaque qui tue des innocents et déplace d'innombrables hommes, femmes et enfants», a écrit le démocrate.

«Toutes les personnes avec une conscience à travers le monde doivent condamner clairement, haut et fort les actions de la Russie et soutenir le peuple ukrainien. Et chaque Américain, peu importe son parti, doit soutenir les efforts du président Biden, en coordination avec nos plus proches alliés, d'imposer des sanctions sévères sur la Russie -des sanctions qui ont un véritable impact sur les élites autocratiques de la Russie», a poursuivi Barack Obama, évoquant des sanctions économiques immédiates. «Sur le long terme, nous sommes face à un choix entre un monde où les autocrates sont libres d'imposer leur volonté par la force et un monde dans lequel les gens libres partout ont le pouvoir de déterminer leur propre futur», a-t-il ajouté. Jeudi, dans une allocution, Joe Biden avait été ferme : «Poutine est l’agresseur, il a choisi de mener cette guerre», a-t-il déclaré de la Maison-Blanche. «La Russie va en payer les conséquences», a-t-il martelé Joe Biden, assurant que les sanctions économiques décrétées allaient porter «un coup important à l’économie russe». «Cette agression ne peut pas rester impunie», a-t-il conclu.

Le soutien de Barack Obama à son ancien vice-président Joe Biden survient alors que Donald Trump a multiplié les louanges envers Vladimir Poutine, dont il a qualifié la stratégie en Ukraine de «génie» en début de semaine. Une position qui détonne au parti républicain dont les principaux dirigeants ont, tout en critiquant le président démocrate, dénoncé l'invasion russe. «Personne au parti républicain ne devrait féliciter Vladimir Poutine. C'est un ancien officier du KGB, un dictateur et un malfrat. Il faut être clair», a déclaré au «Washington Post » Marc Short, l'ancien directeur de cabinet de Mike Pence, ancien vice-président. «Le parti républicain doit faire bloc derrière l'idée que Poutine est un voleur et un escroc. Je ne doute pas que la vaste majorité des sénateurs républicains verra que ce qui arrive en Ukraine est primordial pour notre sécurité nationale et notre bien-être», a complété le sénateur de Caroline du Sud Lindsey Graham, pourtant un proche de Trump.

 

 

 

 

 

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Vendredi 25 février 2022 - «Navire russe, va te faire foutre» : les derniers mots de soldats ukrainiens face à l’armée russe :

Jusqu’au bout, ils ont défendu leur pays. Treize soldats ukrainiens ont été tués dans la nuit de jeudi à vendredi lors de l’offensive russe menée par le président Vladimir Poutine. Ils se trouvaient sur l’île des Serpents, dans la mer Noire, lorsqu’un navire ennemi leur a demandé de se rendre. Une vidéo de cet échange a été diffusée sur Internet. On peut y entendre les troupes russes menacer le camp ukrainien s’ils n’acceptent pas de capituler : «C’est le navire de guerre russe. Je vous suggère de rendre les armes et de capituler pour éviter que le sang de victimes inutiles ne coule. Sinon, vous serez sous les bombes». Ce à quoi les soldats ukrainiens ont répondu : «Navire russe, va te faire foutre», avant de se faire tuer. Cet enregistrement a été diffusé le média ukrainien Pravda et Anton Gerashchenko, conseiller du ministre de l'Intérieur ukrainien, et partagé ensuite sur CNN .

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a confirmé que ces militaires se trouvaient parmi les 137 soldats et civils morts depuis le début de l’invasion russe, quelques heures plus tôt. Il a qualifié ces militaires de «héros» pour n’avoir pas «capitulé». Face à leur acte de bravoure, il a promis de leur remettre une médaille d’honneur à titre posthume. «Que la mémoire de ceux qui ont donné leur vie à l’Ukraine reste pour toujours», a-t-il déclaré. Sa propre vie est elle-même en danger. Il a affirmé être devenu «la cible numéro 1 de l’ennemi» et sa famille «la cible numéro 2». S’il a fait évacuer ses proches, il a choisi pour l’instant de rester à Kiev, alors que l’étau russe se resserre sur la capitale.

Vladimir Poutine aurait pour objectif, selon des sources militaires citées par l’AFP, de faire tomber le président et de mettre à la tête du pays un gouvernement pro-russe. Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a expliqué vendredi que «la guerre est totale» et que «la sécurité du président Zelensky est un élément central de ce qu'il se passe». «Nous sommes en mesure de l’aider si nécessaire», a-t-il ajouté.

L’île des Serpents se trouve à environ 48 kilomètres au large de la pointe sud du continent ukrainien dans le nord-ouest de la mer Noire. C'est à environ 300 kilomètres à l'ouest de la Crimée, territoire ukrainien annexé par la Russie en 2014.

 

 

 

 

 

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Vendredi 25 février 2022 - Guerre en Ukraine : quelles sont les sanctions prises contre la Russie ?

Le président français Emmanuel Macron, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le président du Conseil européen Charles Michel donnent une conférence de presse à l'issue d'une réunion spéciale du Conseil européen le 25 février.Le président français Emmanuel Macron, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le président du Conseil européen Charles Michel donnent une conférence de presse à l'issue d'une réunion spéciale du Conseil européen le 25 février.

L'Europe a annoncé dans la nuit de nouvelles sanctions contre la Russie au lendemain de l'invasion de l'Ukraine.

Union européenne

L'Union européenne, réunie en sommet à Bruxelles, a annoncé jeudi soir durcir ses sanctions contre la Russie dans les secteurs de l'énergie, de la finance et des transports mais sans l'exclure dans l'immédiat du réseau bancaire Swift, qui permet de recevoir ou d'émettre des paiements dans le monde entier. Il s'agit notamment de limiter drastiquement l'accès de la Russie aux marchés de capitaux européens. L'UE va aussi réduire l'accès de la Russie à des "technologies cruciales", en la privant de composants électroniques et de logiciels.

Selon un projet de texte consulté par l'AFP, il inclurait notamment l'interdiction d'exporter vers la Russie des avions, pièces et équipements de l'industrie aéronautique et spatiale, ainsi que des technologies de raffinage pour l'industrie pétrolière.

De nouvelles sanctions frapperaient des individus dans les cercles du pouvoir (gel des avoirs, interdiction du territoire européen...). Elles s'ajouteront à celles déjà entrées en vigueur mercredi soir, notamment contre des personnalités proches de Poutine. Le Bélarus, accusé d'être impliqué dans les opérations russes, sera aussi frappé de sanctions supplémentaires.

Etats-Unis

Le président américain Joe Biden a également annoncé jeudi une série de nouvelles sanctions visant les banques, élites et exportations russes. Quatre banques russes supplémentaires, dont les deux plus grandes du pays, Sberbank and VTB Bank, vont être sanctionnées et plus de la moitié des importations technologiques de la Russie supprimées, a-t-il affirmé lors d'un discours depuis la Maison Blanche. Le géant de l'énergie Gazprom et d'autres grandes entreprises du pays - 13 au total - ne pourront plus pour leur part lever d'argent sur les marchés financiers occidentaux, une sanction qui avait déjà été prise contre le gouvernement russe lui-même.

Les Etats-Unis ont également allongé la liste des oligarques russes pénalisés et restreint les exportations vers la Russie de produits technologiques destinés aux secteurs de la défense et de l'aéronautique. Washington a également annoncé des sanctions contre 24 personnes et organisations bélarusses, accusées d'avoir soutenu et aidé l'invasion de l'Ukraine par la Russie, a annoncé jeudi le département du Trésor.

Royaume-Uni

Le Royaume-Uni a imposé jeudi une nouvelle série de sanctions contre la Russie, interdisant à la compagnie aérienne Aeroflot de desservir le Royaume-Uni et ciblant le secteur bancaire, les exportations de technologies et cinq hommes d'affaires. En plus de cinq banques déjà sanctionnées mardi, le géant public bancaire russe VTB est visé et voit ses actifs sur le sol britannique gelés. Plus généralement, les nouvelles mesures "vont nous permettre d'exclure totalement les banques russes du secteur financier britannique", a précisé Boris Johnson. Elles vont aussi empêcher les entreprises publiques comme privées de lever des fonds au Royaume-Uni et limiter les sommes que les Russes peuvent détenir sur leurs comptes bancaires britanniques. Au total, 100 nouvelles entités seront visées.

Japon

Le Japon a annoncé vendredi des sanctions supplémentaires contre Moscou, visant le secteur financier et l'exportation de composants électroniques. "En plus des sanctions annoncées (mercredi), les (nouvelles) sanctions comprennent le gel des actifs et la suspension de la délivrance de visas à des personnes et organisations russes", a déclaré le Premier ministre Fumio Kishida à Tokyo après une réunion en ligne des dirigeants des sept pays industrialisés du G7.

M. Kishida a également annoncé d'autres mesures "sur les exportations vers les organisations russes liées à l'armée" et sur des "biens à usage général comme les semi-conducteurs et les articles figurant sur une liste restreinte basée sur des accords internationaux".

Canada

Le Canada va sanctionner "58 personnes et entités" russes, a annoncé le Premier ministre Justin Trudeau. Des ministres russes sont précisément ciblés par les sanctions: ceux de la Défense, des Finances et de la Justice, ainsi que le groupe de mercenaires russes Wagner, réputé proche du président Vladimir Poutine.

Le Canada a également suspendu les permis d'exportation pour la Russie, pour une valeur de plus de 700 millions de dollars canadiens (487 millions d'euros) et visant notamment des entreprises du secteur aérospatial, minier et des technologies de l'information.

Australie

Le Premier ministre Scott Morrison a annoncé jeudi une "deuxième série" de sanctions contre quatre institutions financières et 25 personnes appartenant à quatre entités en charge du développement et de la vente de d'équipements militaires. Il a précisé que d'autres séries de sanctions, notamment à l'encontre de plus de 300 membres de la Douma ayant voté pour l'"invasion illégale de l'Ukraine", seront imposées "au fur et à mesure que nous identifierons les responsables".

Suisse

La Suisse a décidé jeudi de ne pas s'aligner sur les sanctions occidentales envers la Russie, mais va prendre les mesures nécessaires pour éviter d'être utilisée comme base de contournement par Moscou, a déclaré le président suisse Ignazio Cassis.

 

 

 

 

 

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Vendredi 25 février 2022 - Avec sa «banque des parrainages», Bayrou a une réserve suffisante pour que Le Pen et Zemmour concourent :

Le président du MoDem, François Bayrou, a indiqué vendredi à l'AFP que son initiative de "banque des parrainages" avait recueilli le soutien de 365 signataires, une réserve suffisante pour garantir à Marine Le Pen et Eric Zemmour, à la peine dans leur récolte de paraphes, qu'ils concourent à l'élection présidentielle. "Nous avons atteint 365 signatures, ce qui est remarquable, parce que ça montre qu’il y a un besoin démocratique en France : quand on propose des réponses précises et concrètes, alors les maires, les élus, en tant que citoyens, répondent et s'engagent", a considéré M. Bayrou.

Le patron du parti centriste doit tenir une réunion vendredi en fin d'après-midi avec les signataires - environ 300 maires, ainsi que des parlementaires et des conseillers départementaux et régionaux - pour procéder à la répartition de leurs parrainages, dans "une démarche absolument civique où chaque élu prend ses responsabilités". Les candidats à l'élection présidentielle ont jusqu'au 4 mars pour justifier de 500 parrainages.

Selon le dernier décompte du Conseil constitutionnel publié jeudi, il en manque au moins entre 80 et 90 à Marine Le Pen et Eric Zemmour, alors que Jean-Luc Mélenchon, un temps à la peine, a finalement recueilli le nombre de signatures nécessaires . Initialement prévu par François Bayrou pour "sauver" les candidats considérés comme légitimes, c'est-à-dire crédités d'au moins 10% dans les intentions de vote, le mécanisme pourra bénéficier à d'autres candidats - Nicolas Dupont-Aignan, François Asselineau, Philippe Poutou ou Christiane Taubira sont notamment en difficulté -, à la discrétion des signataires, eu égard à leur grand nombre.

"J'ai absolument la certitude que nous sommes dans notre rôle de garant de la démocratie en permettant la candidature, y compris de ceux que nous combattrons le plus", a fait valoir le haut commissaire au Plan, alors que chaque volontaire paraphera une déclaration stipulant que ce "parrainage ne constitue en rien un soutien politique au candidat concerné".

"C'est une démarche totalement inédite mais qui a une signification démocratique profonde: tous ceux qui s'inscrivent dans cette démarche pensent et savent que la démocratie doit permettre le pluralisme des expressions, ce qui ne signifie pas approbation de tous les acteurs du débat", a-t-il ajouté, en soulignant la grande diversité politique des parrains.

Le maire de Pau a par ailleurs indiqué qu'il accorderait lui aussi son parrainage à un candidat en difficulté. Outre M. Mélenchon, Valérie Pécresse, Emmanuel Macron, Anne Hidalgo, Yannick Jadot, Fabien Roussel, Jean Lassalle et Nathalie Arthaud ont déjà recueilli au moins 500 parrainages.

 

 

 

 

 

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Vendredi 25 février 2022 - L'économie française est «peu exposée» à la Russie, assure Bruno Le Maire :

Après l'annonce de nouvelles sanctions contre Moscou, le ministre de l'Economie a rappelé que la Russie est pour l'Hexagone "un partenaire économique secondaire".

L'économie française est "peu exposée" à la Russie, qui est "un partenaire économique secondaire", a assuré vendredi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire , après l'annonce de nouvelles sanctions contre Moscou .

"J'ai conscience que ces sanctions peuvent avoir un impact sur quelques entreprises françaises", a toutefois ajouté Bruno Le Maire, qui s'exprimait devant la presse peu avant le début d'une réunion avec ses homologues européens à Paris, assurant par ailleurs que "les ménages français n'ont pas d'inquiétude à avoir" face à la hausse des prix de l'énergie.

 

 

 

 

 

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Vendredi 25 février 2022 - Le moral des ménages français baisse légèrement en février :

Le moral des ménages a légèrement reculé en février pour le deuxième mois consécutif, sur fond de craintes quant à l'inflation, a indiqué l'Insee jeudi. L'indicateur qui synthétise la confiance des ménages s'établit à 98, soit un point de moins qu'en janvier, restant ainsi sous sa moyenne de longue période qui est de 100, détaille l'Institut national de la statistique. Dans le contexte de hausse des prix, en particulier de l'énergie, davantage de ménages (+16 points) considèrent que les prix ont augmenté au cours des douze derniers mois.

Ils sont en revanche moins nombreux (-5 points) à estimer que cette hausse va s'accélérer dans les douze prochains mois mais le solde d'opinion sur ce sujet "demeure largement au-dessus de sa moyenne de longue période", constate l'Insee. Les ménages sont ainsi un peu moins optimistes sur l'évolution du niveau de vie en France dans l'année à venir (-1 point).

En revanche, en février, les craintes relatives à l'évolution du chômage baissent fortement (-10 points) et tombent à leur plus bas niveau depuis juillet 2007, alors que le taux de chômage a fortement diminué l'an dernier à 7,4%. Lorsqu'ils regardent leur situation personnelle, les ménages sont plus partagés: ils sont moins nombreux à estimer que leur situation financière passée s'est améliorée (-3 points) mais un peu plus optimistes pour l'avenir (+1 point). En février, ils sont aussi plus nombreux à estimer opportun de faire des achats importants (+1 point), à un niveau toutefois encore légèrement en dessous de la moyenne de longue période.

 

 

 

 

 

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Vendredi 25 février 2022 - Covid-19 - La pression hospitalière s’allège, accalmie au Canada… le point sur le coronavirus

La situation en France

La décrue épidémique continuait jeudi dans les hôpitaux, où le nombre de malades du Covid-19 a encore diminué , tandis que les contaminations poursuivaient leur baisse, selon les chiffres quotidiens publiés par Santé publique France. La cinquième vague prolonge son reflux: 26.118 personnes infectées par le Covid sont actuellement hospitalisés, soit 763 de moins que la veille.

Parmi ces patients, 2.656 sont pris en charge dans les services de soins critiques, soit 97 de moins en 24 heures. Le gouvernement espère descendre sous le seuil des 1.500 d'ici mi-mars pour lever tout ou partie du pass vaccinal en vigueur depuis un mois.

Il faudra également réduire les contaminations en-dessous d'un taux d'incidence de 500 pour 100.000 habitants, contre encore plus de 760 au dernier pointage. Avec 66.732 nouveaux cas confirmés jeudi, l'objectif semble néanmoins atteignable: sur les sept derniers jours, la moyenne quotidienne s'établit à moins de 67.000 cas, contre plus de 70.000 mercredi et près de 100.000 une semaine auparavant.

En attendant, le bilan humain de l'épidémie ne cesse de s'alourdir, avec 197 décès en 24 heures à l'hôpital, et s'élève désormais à 137.770 victimes. La vaccination demeurait par ailleurs au ralenti: d'après la direction générale de la santé (DGS), 54,17 millions de Français ont reçu au moins une dose (80,3% de la population), 53,17 millions sont complètement vaccinées (78,9% de la population) et 38,76 millions ont reçu une dose de rappel.

Accalmie au Canada

Au Canada, le Premier ministre Justin Trudeau a annoncé la fin des mesures d'urgence prévues dans la loi d'exception de la semaine dernière pour réprimer les manifestations anti-mesures sanitaires qui ont duré trois semaines.

Aux Etats-Unis, des dizaines de routiers et manifestants opposés aux mesures sanitaires mises en oeuvre contre le Covid-19 ont formé mercredi dans le sud de la Californie un "convoi" qui doit traverser le pays pour aller protester à Washington, à 4.200 km de là.

 

 

 

 

 

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Vendredi 25 février 2022 - Guerre en Ukraine : Tirs de missiles sur Kiev, Macron veut maintenir le dialogue

- "Tirs de missiles horribles" sur Kiev

Le chef de la diplomatie ukrainienne a dénoncé vendredi des tirs de missiles russes qui ont touché Kiev à l'aube, faisant au moins trois blessés, au lendemain du début de l'invasion russe du pays. "Des tirs horribles de missiles russes sur Kiev. La dernière fois que notre capitale a connu quelque chose de semblable, c'était en 1941 quand elle a été attaquée par l'Allemagne nazie. L'Ukraine a vaincu ce démon et vaincra aussi celui-ci", a affirmé Dmytro Kouleba dans un message sur son compte Twitter.

Deux fortes détonations ont été entendues vendredi à l'aube dans le centre de Kiev, selon une journaliste de l'AFP. L'armée de terre ukrainienne a indiqué que des "tirs de missiles" visaient Kiev, précisant en avoir détruit deux en vol. Selon le maire de la ville, Vitali Klitschko, ces tirs auraient blessé trois personnes, dont une grièvement, dans un quartier résidentiel du sud-est de la capitale ukrainienne. Selon des sources militaires occidentales, l'armée russe se rapprochait de Kiev, où un couvre-feu a été imposé, avec l'intention de "décapiter le gouvernement" ukrainien et d'y installer à la place un gouvernement favorable à Moscou. L'offensive russe a commencé jeudi à l'aube, après la reconnaissance lundi par le président russe Vladimir Poutine de l'indépendance de territoires séparatistes ukrainiens du Donbass, dans l'est de l'Ukraine.

- Macron essaye de maintenir le dialogue

Emmanuel Macron a jugé vendredi utile de "laisser ouvert le chemin" du dialogue avec Moscou pour obtenir un arrêt de son offensive en Ukraine, tout en dénonçant "la duplicité" de son homologue russe Vladimir Poutine.

A l'issue d'un sommet de l'UE à Bruxelles, le président français a indiqué avoir eu jeudi "un "échange franc, direct, rapide" avec Vladimir Poutine, pour réclamer "l'arrêt des combats dans les meilleurs délais" et "lui demander de discuter" avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky "dont c'était la demande". "Je pense que c'est de ma responsabilité (...) tout en condamnant, tout en sanctionnant, tout en continuant à agir, de laisser ce chemin ouvert pour que le jour où les conditions pourront être remplies, nous puissions obtenir une cessation des hostilités", a-t-il fait valoir. Pour autant, le président français, qui avait multiplié les initiatives diplomatiques ces dernières semaines, a déploré la "duplicité" du Kremlin.

Peu de temps avant l'invasion de l'Ukraine par la Russie, "nous discutions encore des détails de mise en oeuvre des accords de Minsk. Donc, oui, il y a eu duplicité, il y a eu un choix délibéré, conscient, du président Poutine de lancer la guerre quand nous pouvions encore négocier la paix", a-t-il estimé. "Nous devons tirer toutes les conclusions du choix du président Poutine de vouloir faire bégayer l'histoire européenne et nous ramener à des logiques d'empire et de confrontation, de bafouer tous les principes qui président au droit international", a poursuivi Emmanuel Macron.

Il a par ailleurs annoncé la série de mesures prises contre la Russie, dans plusieurs tweets publiés au petit matin.

 

 

 

 

 

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Vendredi 25 février 2022 - Sondage de la présidentielle : la crise ukrainienne renforce Macron et affaiblit Zemmour :

A quarante-cinq jours du premier tour, Frédéric Dabi, directeur général de l'Ifop, et Jean-Philippe Dubrulle, directeur des études analysent la septième semaine de notre notre sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match-LCI-Sud-Radio, #LaPrésidentielleEnTempsRéel.

Emmanuel Macron demeure imperturbablement en tête des intentions de vote des Français depuis le début du rolling, avec environ un quart des suffrages exprimés, soit autant, si ce n’est plus que tous les candidats à sa gauche réunis. Plus précisément, son score s’élève 26% vendredi 25 février, soit une hausse de 1,5 point sur la semaine, après une érosion inverse de 26 à 24,5% en fin de semaine précédente. Cette dernière, survenue au moment où les efforts d’Emmanuel Macron pour trouver une issue positive à la crise russo-ukrainienne semblaient patiner, traduisait aux yeux de certains les difficultés du président à peser dans le grand jeu international. Force est de constater aujourd’hui que le décalage entre le volontarisme affiché par Emmanuel Macron et le manque de succès de ses initiatives ne constituent pas un angle d’attaque porteur à l’égard du candidat non déclaré. Au contraire, le passage du conflit larvé aux hostilités pourrait jouer en faveur du président sortant, à la fois en le distinguant de ses adversaires – dont certains sont déjà ramenés à des propos parfois ambigus à l’égard de la Russie, mais aussi grâce à un «effet drapeau» un phénomène qui s’est déjà produit et traduit par des hausses de popularité d’Emmanuel Macron à plusieurs reprises lors de la crise du Covid-19. Des éléments sur lesquels l’actuel locataire de l’Élysée peut capitaliser, d’autant que la situation internationale semble le contraindre à officialiser sa candidature à la toute dernière minute.

L’incertitude sur l’identité du challenger d’Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle est plus élevée que jamais. En effet, sur la dernière semaine, Marine Le Pen et Éric Zemmour n’ont pas cessé de se passer devant l’une l’autre. Ce tango des courbes d’intentions de vote, sur un intervalle d’un point, se termine cette semaine sur un avantage à la candidate du Rassemblement national, créditée de 16,5% des intentions de vote, contre 15,5% pour le leader de Reconquête!. Dans le détail, le candidat à la dynamique la plus marquée depuis le début du rolling représente toujours une menace structurelle pour Marine Le Pen, mais également pour Valérie Pécresse, dans la mesure où il capte une partie importante de leurs électorats respectifs (22% des électeurs de François Fillon et 30% de ceux de Marine Le Pen en 2017). Une hausse des intentions de vote en sa faveur se traduirait donc mécaniquement par un «siphonnage» des réserves de Marine Le Pen. Mais si les deux candidats d’extrême droite apparaissent aujourd’hui comme les prétendants les plus sérieux à l’accession au second tour, reste à voir quel sera l’impact du conflit russo-ukrainien sur leurs cotes respectives…

… Car leur procès en russophilie représenterait aujourd’hui l’unique moyen pour Valérie Pécresse de remonter la pente et de rattraper ses concurrents de droite. La candidate des Républicains pâtit cette semaine des scores les plus faibles qu’elle a jamais enregistrés dans le rolling : 14% au premier tour et 42% au second tour face à Emmanuel Macron. Au premier tour, bien que l’écart avec Éric Zemmour demeure ténu (1,5 point), la courbe de Valérie Pécresse continue de tracer un faux plat. Au second tour, le fait qu’elle réalise des scores moins importants que Marine Le Pen traduit un déficit de crédibilité pour battre Emmanuel Macron, ce qui bat en brèche son argument de candidate la plus à même de l’emporter. Cet affaiblissement progressif de la candidature Pécresse (bien qu’elle parvienne toujours à mobiliser un électeur Fillon 2017 sur deux) se produit dans une séquence marquée par sa prestation critiquée au Zénith de Paris et, désormais, par l’enquête sur les irrégularités entourant la primaire des Républicains (20% des électeurs l’ont évoquée cette semaine). À gauche, Jean-Luc Mélenchon mène toujours la course en tête, avec 11% des intentions de vote, devant une gauche demeurant à la fois faible et fragmentée. Seule dynamique observée : celle de Fabien Roussel, qui a atteint jusqu’à 4,5% des intentions de vote cette semaine, pour s’établir aujourd’hui à 4%.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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